Se empinó, estiró el cuello por encima de los brazos nudosos, fibrosos, pálidos y se puso a esparcir más aromas y a despertar paisanos, después de que le quitaron la piel dulzona y lo secaron al sol y al viento tibio, haciéndolo reventar de calor, tostándolo carmelita para volverlo polvo, mezclarlo con agua y hacerlo resbalar por el guargüero.
Traduction temporaire :
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes, réveillant les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, puis le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron, avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes, réveillant les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, puis le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron, avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
7 commentaires:
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, fibreux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes et à réveiller les paysans, après quoi ils lui ôtèrent sa peau doucereuse, le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, fibreux [mal dit / FS ici], pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes et à réveiller les paysans, après quoi ils [articulation des deux fragments de la phrase pas géniale] lui ôtèrent sa peau doucereuse, le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes et à réveiller les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes et à réveiller [ou : « réveillant » ?] les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, [« puis » ?] le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes réveillant les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, puis le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes, réveillant les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, puis le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron, avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
J'ai ajouté quelques virgules et c'est OK.
Manon ?
J'attends pour mettre la suite.
Il se dressa sur ses pattes, étira son cou au-dessus de ses bras noueux, vigoureux, pâles, et se mit à libérer davantage d’arômes, réveillant les paysans, qui lui ôtèrent sa peau doucereuse, puis le firent sécher au soleil et au vent tiède, le laissant éclater sous la chaleur, griller pour qu’il prenne sa couleur marron, avant de le réduire en poussière, de le mélanger avec de l’eau et de le faire couler le long de la gorge.
OK pour moi !
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