Allí, duermen por turnos sobre el cuerpo relajado del dueño de casa, que ni siquiera es capaz de amedrentarlas. Ellas disfrutan del hedor delicioso que emana de su organismo putrefacto, cada vez más rico.
Traduction temporaire :
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps inerte du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps inerte du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
19 commentaires:
Dans celle-ci, ils dorment à tour de rôle sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure de les effrayer.
Eux profitent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Dans celle-ci [ou avec un simple « y » placé après ? Essayez et dites-moi ; on verra la suite après, du coup], ils dorment à tour de rôle sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure de les effrayer.
Eux profitent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y [ je crains de faire une répétition avec la phrase précédente mais pour y remédier je peux vous faire une autre proposition pour la phrase 3] dorment à tour de rôle sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure de les effrayer. Eux profitent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse [j'en profite pour vous faire part d'un doute: ce "cada vez mas rico" je n'arrive pas à déterminer s'il fait référence à la "puanteur" ou à "l'organisme en putréfaction"...??], qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y [ je crains de faire une répétition avec la phrase précédente mais pour y remédier je peux vous faire une autre proposition pour la phrase 3 // pour l'instant, laissez avec le « y » ; vous verrez cela au moment de la relecture… Je vous laisse procéder au petit ménage de ce morceau avant de regarder la suite… Là, je n'y vois plus clair ;-)] dorment à tour de rôle sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure de les effrayer. Eux profitent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse [j'en profite pour vous faire part d'un doute: ce "cada vez mas rico" je n'arrive pas à déterminer s'il fait référence à la "puanteur" ou à "l'organisme en putréfaction"...??], qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure de les effrayer.
Eux profitent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle [ponctuation nécessaire] sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas en mesure [naturel ici ?] de les effrayer.
Eux profitent [ou « se délectent » ? Pesez le pour et le contre, puis tranchez] de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui est incapable de les effrayer. Eux se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
J'en profite pour vous prévenir que je m'absente une dizaine de jours à l'étranger.N'emportant pas mon ordi, je ne peux vous promettre de réponses immédiates. Voili voilou...
Ils y dorment à tour de rôle, [ajout de la cheville « juchés » ? Comme vous voulez] sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui est [et la nuance contenue dans « ni siquiera » ?] incapable de les effrayer. Eux [« , ils » ? Je vous laisse voir] se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n' est même pas capable de les effrayer. Ils se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effrayer [ou ici, est-ce dans le sens de « mettre en fuite » ? Je vous laisse regarder dans le dictionnaire unilingue]. Ils se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps détendu du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps détendu [si j'ai bien compris, le type est mort, n'est-ce pas ? ;-) Donc, est-ce qu'il n'y a pas un adjectif plus adapté ? Je n'ai pas vraiment d'idées, mais ça vaut peut-être le coup d'y réfléchir. Voyez si vous trouvez quelque chose dans le dico des synonymes et dites-moi. Sinon, tant pis, on gardera ça] du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps apathique du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps apathique [comme il est mort, cela semble un peu ennuyeux, non ? Il faut quelque chose de plus adapté] du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps inerte du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps amorphe du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Ils y dorment à tour de rôle, juchés sur le corps apathique [comme il est mort, cela semble un peu ennuyeux, non ? Il faut quelque chose de plus adapté] du propriétaire de la maison, qui n'est même pas capable de les effaroucher. Lesdits cafards se délectent de la délicieuse puanteur, de plus en plus savoureuse, qui se dégage de son organisme en putréfaction.
Cette version me semble bonne.
Je voulais dire celle avec « inerte ».
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