Pero la Señora, papá, a la Señora del Viejo Álvarez yo jamás la ví andar lavando la ropa que mamá lava, y menos en esa cantidad, si hasta da pena, por eso no sé por qué lo dice el Viejo, yo creo que nos miente, yo creo, al final, que es como dice mi hermano, que los patrones son los dueños de nuestros dolores.
Traduction temporaire :
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine ; je ne comprends donc vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine ; je ne comprends donc vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
18 commentaires:
Mais la Vierge, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais la Vierge [on l'a déjà eu avant, non ? Vierge ou en gros la dame importante du village ?], papa, [répète « Señora »] je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais la Vierge [on l'a déjà eu avant, non ? Vierge ou en gros la dame importante du village ?/on a opté pour "Sainte Vierge"], papa, [répète « Señora »/si je le répète, on l'a trois fois car c'est aussi le dernier mot de la phrase précédente...] je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais la Vierge [on l'a déjà eu avant, non ? Vierge ou en gros la dame importante du village ?/on a opté pour "Sainte Vierge" // Mais ça mérite d'y réfléchir… vu la suite, non ?], papa, [répète « Señora »/si je le répète, on l'a trois fois car c'est aussi le dernier mot de la phrase précédente...] je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais la Dame, papa, je n'ai jamais vu la Dame du Vieux Álvarez [en effet, dans ce cas je comprends qu'il s'agit de la femme du vieux Álvarez...Je demande confirmation ?] laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais la Dame, papa, je n'ai jamais vu la Dame du Vieux Álvarez [en effet, dans ce cas je comprends qu'il s'agit de la femme du vieux Álvarez...Je demande confirmation ? Oui, parce que là, on ne peut pas se permettre de se tromper… On aurait l'air malin // d'autant que ça revient fréquemment dans le texte – quand tu as la réponse, dis-moi où il faut que je change avant] laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame Álvarez, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités, ça me fait même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
[j'ai eu la confirmation de l'auteur, il s'agit bien de la femme du Vieux Álvarez, dans le sens de "doña" : il faut changer la fin de la phrase précédente...Je mettrais "Madame Álvarez", pour garder la répétition, vu qu'on l'a trois fois dans le texte original]
Mais Madame Álvarez, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, et encore moins dans de telles quantités [je le répète et je n'arrive pas à trancher ; sûre que ça se dit ? Un vrai doute…], ça me fait [tu as déjà « faire », juste avant] même de la peine, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je suis d'avis [naturel ?] qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame Álvarez, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge comme le fait maman, encore moins pour autant de vêtements, ça me chagrine même, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame Álvarez [pas sûre qu'il soit judicieux d'ajouter le nom… Avec la majuscule, cela prend tout son sens // justement, ça se suffit à soi-même et ça veut tout dire d'un point de vue du sens…], papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge [virgule ? J'hésite] comme le fait maman, encore moins pour [mal dit] autant de vêtements, ça me chagrine même [mal dit + pas exactement ce que dit la V.O.], alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est autant de vêtements, parfois cela m'attriste, alors je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est autant de vêtements [ou simplement : « dans de telles quantités » ? Je te laisse voir], parfois [pour « si hasta » ?] cela m'attriste, alors [tu t'éloignes trop de la V.O. dans cette partie] je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, cela m'attriste même, si bien que je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, cela m'attriste même [« ça fait peine »], si bien que je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine, si bien que je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine, si bien [je ne le trouve pas très naturel ce « si bien » ?] que je ne comprends vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine ; je ne comprends donc vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
Mais Madame, papa, je ne l'ai jamais vue laver le linge, comme le fait maman, qui plus est dans de telles quantités, ça fait peine ; je ne comprends donc vraiment pas pourquoi le Vieux dit ça, je pense qu'il nous ment, et je finis par croire que mon frère a raison : les patrons sont maîtres de nos douleurs.
OK.
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