—No tienes ni idea, loco— se me acercó y me dijo al oído que no era coincidencia. Que esta ciudad está poblada de gente como ellos. Vienen por nosotros y yo no quiero que me lleven…
Lo visité varias veces en el hospital, hasta que él mismo impidió más contacto. Me dijeron todo con sobriedad, el lenguaje preciso para darle inicio a las tragedias.
Traduction temporaire :
— Tu te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent… Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas, on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent… Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas, on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
12 commentaires:
Annelise L
— Tu ne te rends pas compte, mon pote — il s’approcha de moi et me dit à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence, que cette ville est peuplée de gens comme eux : « Ils nous poursuivent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent… » Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même interdise le moindre contact. Ils m’expliquèrent tout avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu ne te rends pas compte, mon pote — [point] il s’approcha de moi et me dit à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence, que cette ville est peuplée de gens comme eux : « [fais comme en V.O.] Ils nous poursuivent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent… » [supprime]
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même interdise [sûre ?] le moindre contact. Ils m’expliquèrent tout avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
Annelise L
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me dit à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence, que cette ville est peuplée de gens comme eux, ils nous poursuivent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent. Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Ils m’expliquèrent tout avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me dit [« glissa » ?] à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence, [point ; mieux vaut faire comme en V.O.] que cette ville est peuplée de gens comme eux, [point ; idem] ils nous poursuivent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent.
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre [et le « más » ?] contact. Ils [qui « ils » ?] m’expliquèrent tout avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
Annelise L
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous poursuivent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent...
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact supplémentaire. Là-bas, ils m’expliquèrent tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous poursuivent [« pourchassent » ?] et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent... [le raccourci clavier des points de suspension]
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact supplémentaire [supprime]. Là-bas, ils [« on » ?] m’expliquèrent tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
Annelise L
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent…
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas,on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
Rétablis tes espaces.
Annelise L
— Tu ne te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent… Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas,on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu ne [nécessaire ?] te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent…
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas,[comme demandé dans mon commentaire précédent, rétablis tes espaces]on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
Annelise L
— Tu te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent…
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas, on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
— Tu te rends pas compte, mon pote. Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille que ce n’était pas une coïncidence. Que cette ville est peuplée de gens comme eux. Ils nous pourchassent et moi, je ne veux pas qu’ils m’emmènent…
Je lui rendis visite plusieurs fois à l’hôpital, avant que lui-même empêche le moindre contact. Là-bas, on m'expliqua tout, avec sobriété, usant d’un langage précis, celui dont on se sert pour commencer les tragédies.
OK.
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