- Somossss amiiiigosssss
-Veniiimoos en sooon de pazzz-, hablaban deletreando, por alguna razón se suele pensar que si no conocemos cómo habla la otra persona, si alargamos las sílabas, de esta manera sí nos hacemos comprender.
Como respuesta el líder disparó directamente a la rodilla de Walter.
- Venimos de la Tierraaaa-, pudo decir, aún herido.
- ¿Planeta Tierra?-, preguntó el líder.
- Si-, contestó Walter, sin deletrear.
- Oh, Tierra… Maradona-, dijo el líder.
Traduction temporaire :
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, on se fait mieux comprendre en allongeant les syllabes.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
12 commentaires:
- Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant ; pour une raison inconnue, on pense généralement que si on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement sur le genou de Walter.
- Nous venons de la Teeerre, put-il dire, bien qu'il fût blessé.
- De la planète Terre ? demanda le chef.
- Oui, répondit Walter, sans articuler.
- Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
- [les tirets longs pour les dialogues… Je te laisse tout changer] Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant ; pour une raison inconnue, on pense généralement que si on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement sur le genou de Walter.
- Nous venons de la Teeerre, put-il dire, bien qu'il fût blessé.
- De la planète Terre ? demanda le chef.
- Oui, répondit Walter, sans articuler.
- Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant ; pour une raison inconnue, on pense généralement que si on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement sur le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, put-il dire, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, sans articuler.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant [il faut expliquer… car sinon, c'est assez logique ;-)] ; pour une raison inconnue, on pense généralement que si on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si [pas terrible les deux « si »] on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement sur [« dans »] le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, put[avec « parvenir » ?]-il dire, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, sans articuler [idem].
— Oh, la Terre… Maradona, dit [beaucoup de « dire »] le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant chaque son ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, sans articuler chaque son.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en articulant [« détachant » ?] chaque son [« syllabe » ?] ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on peut ainsi se faire comprendre [« on se fait / fera mieux comprendre en allongeant… »].
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il [« à »] ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, sans articuler chaque son [idem / ou : « en parlant normalement » ?].
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on se fait ainsi comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on se fait ainsi [« mieux » ?] comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on se fait ainsi mieux comprendre.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
Julie
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, si on allonge les syllabes, on se fait ainsi mieux comprendre [« on se fait mieux comprendre en allongeant les syllabes » ? Vois ce qui est mieux…].
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, on se fait mieux comprendre en allongeant les syllabes.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
— Nous sooommes des amiiis. Nous venooons en paiiix. Ils s'exprimaient en détachant chaque syllabe ; pour une raison inconnue, on pense généralement que lorsqu'on ne sait pas quelle langue parle l'autre personne, on se fait mieux comprendre en allongeant les syllabes.
Pour toute réponse, le chef tira directement dans le genou de Walter.
— Nous venons de la Teeerre, parvint-il à ajouter, bien qu'il fût blessé.
— De la planète Terre ? demanda le chef.
— Oui, répondit Walter, en parlant normalement.
— Oh, la Terre… Maradona, dit le chef.
OK.
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