Vicente Blasco Ibañez
El parásito del tren
-Si -dijo el amigo Pérez a todos sus contertulios de café-; en este periódico acabo de leer la noticia de la muerte de un amigo. Sólo lo vi una vez, y, sin embargo, lo he recordado en muchas ocasiones. ¡Vaya un amigo!
Lo conoci una noche viniendo a Madrid en el tren correo de Valencia. Iba yo en el departamento de primera.
Traduction temporaire :
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Un sacré ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Un sacré ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
9 commentaires:
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
- Oui -dit l'ami Pérez à tous ses camarades de café- ; dans ce journal je viens de lire l'annonce de la mort d'un ami. Je ne l'ai vu qu'une seule fois, et pourtant, je me le suis rappelé à beaucoup d'occasions. Quel ami ! Je le connus une nuit alors que j'allais à Madrid par l'AVE, le train à grande vitesse de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
- Oui -[virgule]dit l'ami Pérez à tous ses camarades de café[ou : « comptoir » ? J'hésite]- [supprimez le tiret] ; dans ce journal [mettez-le après, ce sera sans doute plus naturel] je viens de lire l'annonce de la mort d'un ami. Je ne l'ai vu qu'une seule fois [avec « avoir beau » ? Essayez et voyez ce qui est mieux], et pourtant, je me le suis rappelé à beaucoup d'occasions [naturel ?]. Quel ami ! Je le connus [ATTENTION / VOUS ÉTIEZ AU PASSÉ COMPOSÉ ET LÀ, VOUS VOUS METTEZ AU PASSÉ SIMPLE… C'EST L'UN OU L'AUTRE, PAS LES DEUX !!!! Très important pour le concours] une nuit alors que j'allais à Madrid par l'AVE [sûr ?], le train à grande vitesse de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
- Oui -,dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, et pourtant, je me le suis rappelé à maintes occasions. Quel ami ! Je l'ai connu une nuit alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
- [les tirets longs pour les dialogues] Oui -[supprimez le tiret],[espace]dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir[espace]; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, et pourtant [pas besoin puisque vous avez « avoir beau » // passage fait trop vite… beaucoup de coquilles, etc. Relisez…], je me le suis rappelé à maintes occasions. Quel ami ! Je l'ai connu une nuit alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Quel ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Auteur ?
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Quel [ou : « Un sacré » ? Comme vous préférez…] ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Un sacré ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
Vicente Blasco Ibañez
Le parasite du train
— Oui, dit l'ami Pérez à tous ses camarades de comptoir ; je viens de lire dans ce journal l'annonce de la mort d'un ami. J'ai beau ne l'avoir vu qu'une seule fois, je me le suis rappelé à maintes occasions. Un sacré ami ! Je l'ai connu une nuit, alors que j'allais à Madrid par le train postal de Valence. Je voyageais en première classe.
OK.
Enregistrer un commentaire