Sir Helder Amos (Venezuela)
Carta a un amigo muerto
Querido amigo:
Desde que te fuiste mi corazón se ha llenado con una profunda tristeza de la cual no me puedo librar, y ahora que ya no estas, te llevo siempre en mis pensamientos, recordando tu mirada y el sonido de tu risa, preguntándome cuando será el día en el que pueda volver a ver tus verdes ojos y a escuchar reírte a carcajadas como solías hacerlo cuando estabas a mi lado.
Traduction temporaire :
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
6 commentaires:
Annelise L
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse de laquelle je ne parviens pas à me défaire, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre rire à gorge déployée comme tu en avais l'habitude, lorsque tu étais auprès de moi.
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse de laquelle [«, dont » ?] je ne parviens pas à me défaire [plus près de la V.O. ? Comme tu veux…], et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre rire [« rigoler » ?] à gorge déployée [virgule] comme tu en avais l'habitude, [sans la virgule] lorsque tu étais auprès de moi.
Annelise L
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse [virgule ? Comme tu veux] dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
Annelise L
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
Sir Helder Amos (Venezuela)
Lettre à un ami mort
Cher ami,
Depuis que tu es parti, mon cœur s'est empli d'une profonde tristesse dont je ne parviens pas à me libérer, et maintenant que tu n'es plus là, je t'ai sans cesse à l'esprit, me rappelant ton regard et le son de ton rire, me demandant quand viendra le jour où je pourrais revoir tes yeux verts et t'entendre t'esclaffer, comme tu en avais l'habitude lorsque tu étais auprès de moi.
OK.
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