samedi 14 février 2015

Projet Eleonore / Johanna – phrase 41

Además (y esto es lo peor para la niña), el patio está infestado de peludas orugas que, amarillentas y obesas, se arrastran de aquí para allá y trepan por las piernas, introduciéndose en el cuerpo, en el cabello y los zapatos, escondidas incluso entre los pliegues más íntimos del vestido: inofensivas pero infatigables, se enrollan sobre sí mismas cuando son detectadas, y convertidos en anillos felpudos y grasientos, sus cadáveres atraviesan el patio.

Traduction temporaire :
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.

19 commentaires:

Unknown a dit…

En plus ( et ça c'est le pire pour la petite ), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et grosses, rampent par-ci par là et grimpent sur les jambes, en s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même cachées dans les plis les plus profonds de la robe : inoffensives mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-même quand on les découvre, et convertis en anneaux pelucheux et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus ([pas d'espace] et ça [virgule] c'est le pire pour la petite [idem]), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et grosses [pas ce qui est dit], rampent par-ci par là [orthographe ? Vérifiez] et grimpent sur les jambes, en [nécessaire ?] s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même cachées [je sais que c'est la trad littérale, mais ça ne s'articule pas très bien avec ce qui précède // essayez de reprendre ça à votre compte] dans les plis les plus profonds de la [?] robe : inoffensives [virgule avant les « mais » en milieu de phrase !] mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-même [grammaire] quand on les découvre, et convertis [mal dit] en anneaux pelucheux [j'hésite…] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.

Unknown a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèse, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même enfouies dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux pelucheux [felpa = unilingue : tejido de seda o de algodón que tiene el pelo por el haz (haz = faisceau = bouquet, gerbe, pinceau). bilingue : une peluche // felpudo = unilingue : que parece de felpa, tejido en forma de felpa. bilingue : un paillasson] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèse [grammaire], rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même enfouies [pour suivre la construction : « s'enfouissement même » ?] dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux pelucheux [felpa = unilingue : tejido de seda o de algodón que tiene el pelo por el haz (haz = faisceau = bouquet, gerbe, pinceau). bilingue : une peluche // felpudo = unilingue : que parece de felpa, tejido en forma de felpa. bilingue : un paillasson // je sais, je sais… mon pb n'est pas là. Pour « pelucheux » en français, j'ai : « Qui peluche »… pas qui est de la matière des peluches.] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.

Unknown a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux qui peluchent, leurs cadavres traversent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux qui peluchent [je vous repose ma question : est-ce que l'idée, c'est qu'ils font des peluches, comme les vieux pulls (les petites boules…) ou qu'ils ont l'air d'être comme des peluches – les ours en peluche, etc. ?], leurs cadavres traversent la cour.

Eléonore Renaud a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des peluches, leurs cadavres traversent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des peluches [« anneaux en peluche » ?], leurs cadavres traversent la cour.

Eléonore Renaud a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres traversent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres traversent [au fait : bizarre / ça laisserait entendre qu'ils sont animés – impossible, puisqu'ils sont morts ;-) Il doit y avoir une erreur // cf le dico unilingue] la cour.

Eléonore Renaud a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres sillonnent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres sillonnent [« jonchent » ?] la cour.

Eléonore Renaud a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres jonchent la cour.

Tradabordo a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux [1) vous répétez « anneaux ». 2) ça voudrait dire que les anneaux en peluche, ça existe et que les chenilles leur ressemblent // Faites simple ! ;-)] en peluche, leurs cadavres jonchent la cour.

Eléonore Renaud a dit…

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux en peluche, leurs cadavres recouvrent (je viens de me rendre compte que l’on a déjà utilisé le verbe « joncher » dans la phrase précédente) la cour.

Tradabordo a dit…

Allez, un peu d'aide pour régler la fin – au fait : bien vu pour la répétition.

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.

Qu'en pensez-vous ?

Eléonore Renaud a dit…

Merci pour votre aide !

En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.
OK.

Tradabordo a dit…

Johanna ?

Unknown a dit…

ok