Además (y esto es lo peor para la niña), el patio está infestado de peludas orugas que, amarillentas y obesas, se arrastran de aquí para allá y trepan por las piernas, introduciéndose en el cuerpo, en el cabello y los zapatos, escondidas incluso entre los pliegues más íntimos del vestido: inofensivas pero infatigables, se enrollan sobre sí mismas cuando son detectadas, y convertidos en anillos felpudos y grasientos, sus cadáveres atraviesan el patio.
Traduction temporaire :
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.
19 commentaires:
En plus ( et ça c'est le pire pour la petite ), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et grosses, rampent par-ci par là et grimpent sur les jambes, en s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même cachées dans les plis les plus profonds de la robe : inoffensives mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-même quand on les découvre, et convertis en anneaux pelucheux et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.
En plus ([pas d'espace] et ça [virgule] c'est le pire pour la petite [idem]), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et grosses [pas ce qui est dit], rampent par-ci par là [orthographe ? Vérifiez] et grimpent sur les jambes, en [nécessaire ?] s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même cachées [je sais que c'est la trad littérale, mais ça ne s'articule pas très bien avec ce qui précède // essayez de reprendre ça à votre compte] dans les plis les plus profonds de la [?] robe : inoffensives [virgule avant les « mais » en milieu de phrase !] mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-même [grammaire] quand on les découvre, et convertis [mal dit] en anneaux pelucheux [j'hésite…] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèse, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même enfouies dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux pelucheux [felpa = unilingue : tejido de seda o de algodón que tiene el pelo por el haz (haz = faisceau = bouquet, gerbe, pinceau). bilingue : une peluche // felpudo = unilingue : que parece de felpa, tejido en forma de felpa. bilingue : un paillasson] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèse [grammaire], rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, même enfouies [pour suivre la construction : « s'enfouissement même » ?] dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux pelucheux [felpa = unilingue : tejido de seda o de algodón que tiene el pelo por el haz (haz = faisceau = bouquet, gerbe, pinceau). bilingue : une peluche // felpudo = unilingue : que parece de felpa, tejido en forma de felpa. bilingue : un paillasson // je sais, je sais… mon pb n'est pas là. Pour « pelucheux » en français, j'ai : « Qui peluche »… pas qui est de la matière des peluches.] et graisseux, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux qui peluchent, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux qui peluchent [je vous repose ma question : est-ce que l'idée, c'est qu'ils font des peluches, comme les vieux pulls (les petites boules…) ou qu'ils ont l'air d'être comme des peluches – les ours en peluche, etc. ?], leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des peluches, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des peluches [« anneaux en peluche » ?], leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres traversent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres traversent [au fait : bizarre / ça laisserait entendre qu'ils sont animés – impossible, puisqu'ils sont morts ;-) Il doit y avoir une erreur // cf le dico unilingue] la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres sillonnent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres sillonnent [« jonchent » ?] la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux en peluche, leurs cadavres jonchent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux et semblables à des anneaux [1) vous répétez « anneaux ». 2) ça voudrait dire que les anneaux en peluche, ça existe et que les chenilles leur ressemblent // Faites simple ! ;-)] en peluche, leurs cadavres jonchent la cour.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand on les découvre, et transformés en anneaux graisseux en peluche, leurs cadavres recouvrent (je viens de me rendre compte que l’on a déjà utilisé le verbe « joncher » dans la phrase précédente) la cour.
Allez, un peu d'aide pour régler la fin – au fait : bien vu pour la répétition.
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.
Qu'en pensez-vous ?
Merci pour votre aide !
En plus (et ça, c'est le pire pour la petite), la cour est infestée de chenilles velues qui, jaunâtres et obèses, rampent par-ci par-là et grimpent sur les jambes, s'introduisant dans le corps, les cheveux et les chaussures, s'enfouissant même dans les plis les plus profonds du vêtement : inoffensives, mais infatigables, elles s'enroulent sur elles-mêmes quand elles se savent repérées, leurs cadavres recouvrent ensuite la cour, transformés en anneaux graisseux en peluche.
OK.
Johanna ?
ok
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