—Ahm, si, ¡te lo agradezco! Por favor, pídeme un café con leche.
Gracias al desparpajo y los gritos del chico, en pocos minutos estaban alejándose de la barra cargados con sendas tazas. Él la guió hasta el rincón más alejado, pegado a la barandilla que bordeaba la cúpula de la terraza, para escapar de los empujones y los gritos. Colocaron sus cafés en equilibrio, intentando aprovechar el poco sitio.
—Me llamo Josef.
—Yo soy Roslin —dijo ella con un hilillo de voz—. ¿Nos conocemos? Me suenas de algo…
Traduction temporaire :
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir, leurs tasses à moitié pleines. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef.
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir, leurs tasses à moitié pleines. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef.
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
12 commentaires:
Ahm, oui, merci ! Prends-moi un café au lait s'il te plaît.
Grâce à sa désinvolture et aux cris de l'enfant, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir chargés de deux tasses. Il la guida jusqu'à un coin à l'écart, collé à la balustrade qui borde la coupole de la terrasse, pour échapper au brouhaha et aux cris. Ils posèrent leur cafés en équilibre, essayant de profiter un peu de l'endroit.
—Je m'appelle Josef
—Je suis Roslin — dit-elle d'une petite voix—. On se connaît ? Tu me dis quelque chose.
Rétablissez les espaces + virgules à la place des tirets.
─ Ahm, oui, merci ! Prends-moi un café au lait s'il te plaît.
Grâce à sa désinvolture et aux cris de l'enfant, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir chargés de deux tasses. Il la guida jusqu'à un coin à l'écart, collé à la balustrade qui borde la coupole de la terrasse, pour échapper au brouhaha et aux cris. Ils posèrent leur cafés en équilibre, essayant de profiter un peu de l'endroit.
— Je m'appelle Josef
— Je suis Roslin, dit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose.
Ahm, oui, merci ! Prends-moi un café au lait s'il te plaît.
Grâce à sa désinvolture et aux cris de l'enfant, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir chargés de deux tasses. Il la guida jusqu'à un coin à l'écart, collé à la balustrade qui borde la coupole de la terrasse, pour échapper au brouhaha et aux cris. Ils posèrent leur cafés en équilibre, essayant de profiter du petit espace.
—Je m'appelle Josef.
—Je suis Roslin, dit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose.
Merci, Fanny, d'avoir compris qu'il y avait un espace après les tirets des dialogues.
─ Ahm [« Hum » ?], oui, merci ! Prends-moi un café au lait [virgule] s'il te plaît.
Grâce à sa désinvolture et aux cris de l'enfant [FS], en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir chargés de deux tasses [pas exactement ce qui est dit]. Il la guida jusqu'à un coin [et le « más » ?] à l'écart, collé à la balustrade qui borde [temps] la coupole de la terrasse, pour échapper au brouhaha [FS // prenez quand même la peine d'ouvrir le dictionnaire !] et aux cris. Ils posèrent leur cafés en équilibre, essayant de profiter un peu de l'endroit.
— Je m'appelle Josef
— Je suis Roslin, dit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose.
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à la désinvolture et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir avec leurs tasses à moitié remplies. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leur cafés en équilibre, essayant de profiter du peu de place.
— Je m'appelle Josef
— Je suis Roslin, dit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à la désinvolture [juste un petit doute ; avez-vous bien regardé toutes définitions dans le dico unilingue ? Est-ce qu'il n'y a pas mieux ?] et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir avec leurs tasses à moitié remplies. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leur cafés [grammaire ; relisez-vous ç] en équilibre, essayant de profiter du peu de place [mal dit].
— Je m'appelle Josef
— Je suis [nécessaire ?] Roslin, dit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis [vous l'avez juste avant] quelque chose…
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir avec leurs tasses à moitié remplies. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir avec [ou avec une simple virgule ?] leurs tasses à moitié remplies [« pleines » ?]. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir, leurs tasses à moitié pleines. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef.
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
─ Hum, oui, merci ! Prends-moi un café au lait, s'il te plaît.
Grâce à l'aplomb et aux cris du garçon, en quelques minutes ils s'éloignaient du comptoir, leurs tasses à moitié pleines. Il la guida jusqu'au coin le plus à l'écart, collé à la balustrade qui bordait la coupole de la terrasse, pour échapper aux bousculades et aux cris. Ils posèrent leurs cafés en équilibre, essayant de profiter de l'espace dont ils disposaient.
— Je m'appelle Josef.
— Et moi Roslin, répondit-elle d'une petite voix. On se connaît ? Tu me dis quelque chose…
OK.
Laura ?
OK
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