vendredi 13 février 2015

Projet Marine / Céleste – phrases 41-48

Suaves chorros de luz de luna se deslizan bañando al ayuntamiento y a la estatua del conde de Ansúrez. Un silencio indescriptible me rodea y el viento me trae el bullicio de la gente. No los veo, sólo presiento sus andares. Todo lo que me rodea, hasta los sonidos, lo percibe mi olfato. Mi nariz, como un perro sabueso, aletea tras los aromas. Es mi única ventana a la vida. Esto me aúna a Malena que va y viene en su silla de ruedas. Ella nunca ha visto algo bonito ni ha expresado un deseo. 

Traduction temporaire :
De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, court après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela m'unit à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait. 

20 commentaires:

Unknown a dit…

[C'est ici la suite, ce sont les phrases 41-48 !]

Les légers flots de lumière de la lune envahissent la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens seulement leurs pas. Tout ce que m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

Les [?] légers [inexact] flots de lumière de la [?] lune envahissent [pas ce qui est dit] la mairie et la statue du Comte de Ansúrez.

Faisons déjà ça. Laissez la suite.

Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens seulement leurs pas. Tout ce que m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait.

Mohammed a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent pour recouvrir la mairie et la statue du Comte de Ansúrez.

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Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens seulement leurs pas. Tout ce que m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent pour recouvrir [restez plus près de la V.O.] la mairie et la statue du Comte de Ansúrez.

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Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens seulement leurs pas. Tout ce que m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait.

Mohammed a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez.

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Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens seulement leurs pas. Tout ce que m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait

Tradabordo a dit…

Céleste, attention au point final du fragment. Quand vous faites le copier/coller, pensez à bien le prendre avec le reste.

De doux flots de lumière de lune se glissent [est-ce qu'il ne manque pas quelque chose ? « là » ou un truc comme ça…] [virgule] baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent me m’entraine vers [CS] le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, je ressens [pas très adapté, à mon avis] seulement leurs pas. Tout ce que [relisez-vous avant de publier un commentaire ; du coup, je vous laisse reprendre la suite… au cas où un peu de ménage soit nécessaire] m’entoure, jusqu’au moindre son, se distingue de mon odorat. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les aromes. C’est mon unique fenêtre de la vie. Il me semble que c’est Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose d’aussi beau, ni exprimé un souhait

Mohammed a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’au moindre son, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela me fait penser à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de beau, ni exprimé un souhait.

Mohammed a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’au moindre son, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela me fait penser à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de beau, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

Je n'avais pas vu votre commentaire… Quand vous vous rendez compte que ça bouge chez les autres et pas chez vous, réagissez plus vite. Sinon, vous perdez du temps…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’au moindre son [pas exactement ce qui est dit], mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, bat des ailes après [assez clair ?] les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela me fait penser [sûre de l'interprétation ?] à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de beau [inexact ?], ni exprimé un souhait.

Mohammed a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, flaire tous les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela m'unis à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, flaire tous [pas ce que dit la V.O.] les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela m'unis [???????????????] à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

Unknown a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, court après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela me rapproche de Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, court après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela me rapproche de [« m'unit à » ? Comme vous préférez] Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

Unknown a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, court après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela m'unit à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

Tradabordo a dit…

De doux flots de lumière de lune se glissent là, baignant la mairie et la statue du Comte de Ansúrez. Un silence indescriptible m’entoure et le vent m’apporte le brouhaha des gens. Je ne les vois pas, j'entends seulement leurs pas. Tout ce qui m’entoure, jusqu’aux sons, mon odorat le perçoit. Mon nez, comme un chien limier, court après les arômes. C’est mon unique fenêtre sur la vie. Cela m'unit à Malena qui va et vient dans son fauteuil roulant. Elle n’a jamais vu quelque chose de joli, ni exprimé un souhait.

OK.

Céleste ?

Y a-t-il encore du texte d'avance ou faut-il que j'en mette ?

Unknown a dit…

Il y a un passage d'avance oui, ce sont les phrases 49-52 :)

hhtps://tradabordo.blogspot.fr/2015/02/projet-marine-celeste-phrases-37-40.html

Mohammed a dit…

Ok pour moi.

Tradabordo a dit…

OK, j'y vais.

Céleste, n'oubliez pas de valider ici avant de nous rejoindre à la section d'après.

Tradabordo a dit…

Marine, mettez un commentaire à l'autre section. Ce sera plus simple pour moi.

Mohammed a dit…

OK pour moi.