Pero aunque no descarto que el universo sea extraño es evidente que persiste en su monotonía, porque también en su mundo hay cárceles. Acá en 1946, subió un presidente cuyo nombre me produce comezón.
Traduction temporaire :
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, avait pris le pouvoir en 1946.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, avait pris le pouvoir en 1946.
17 commentaires:
Sauf que, même si je ne conteste pas l’étrangeté de l'univers, il est évident qu'il persiste dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir.
Sauf que, même si [lourd] je ne conteste pas l’étrangeté de l'univers [trop loin], il est évident qu'il persiste dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir.
Sauf que, si je ne conteste pas que l'univers soit étrange, il est évident qu'il persiste dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir.
Sauf que, [sans la virgule] si je ne conteste pas que l'univers soit [« est »] étrange, il est [débrouille-toi pour ne pas répéter] évident qu'il persiste dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence, il persiste dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence, il persiste [« perdure » ?] dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, assuma le pouvoir [mal dit + reprends la syntaxe].
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence, il perdure dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, prit le pouvoir un président, dont le nom me donne de l'urticaire.
Je teste avec "perdure", mais il me semble que "persister" colle bien dans sa définition...
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence, il perdure dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, en 1946, prit le pouvoir un président [mets ça après « ici » ; voyons ce que ça donne], dont le nom me donne de l'urticaire.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence, il perdure dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
Comme cela ?
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, de toute évidence [mets-le après ; ça évitera l'entrevirgulage], il perdure dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure dans sa monotonie de toute évidence, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure dans sa monotonie de toute évidence [après le verbe], car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, prit le pouvoir en 1946.
OK.
En effet, le PS ici est une erreur :
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, avait pris le pouvoir en 1946.
Corrige.
Sauf que si je ne conteste pas que l'univers est étrange, il perdure de toute évidence dans sa monotonie, car dans votre monde aussi il y a des prisons. Ici, un président, dont le nom me donne de l'urticaire, avait pris le pouvoir en 1946.
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