¿Qué voy a vender, doña? Que te diga mijo. Quiero vender películas. Ah, chingá, quieres vender películas, ¿cómo ven a este cabrón? El Moreno y el Chibuto brindaron una sonrisa forzada. La película es lo que más se vende, dijo doña Silvia, esos puestos valen el triple de lo que te dije; que lo decida mijo, te va a dar fajas o alguna otra pendejada, así se empieza aquí. Sí, señora, se resignó Nicolás. ¿Tú ya habías vendido en la calle? Sí, señora, pero nos quitaron el permiso. ¿En qué calle? En 5 de mayo.
Traduction temporaire :
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des bandes ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des bandes ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
12 commentaires:
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah mon coco ! tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi de cet enfoiré ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. les films c'est ce qui se vend le mieux, dit doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des bandes ou d'autres bricoles, c'est comme ça qu'on commence ici. Oui madame, se résigna à dire Nicolas. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dana la rue 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah mon coco ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi de cet enfoiré ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films c'est ce qui se vend le mieux, dit doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des bandes ou d'autres bricoles, c'est comme ça qu'on commence ici. Oui madame, se résigna à dire Nicolas. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dana la rue 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire [j'ai un doute sur l'interprétation – pas super logique si on regarde la suite ; demandez quand même à une des filles…]. Je veux vendre des films. Ah mon coco [pas plutôt : « putain / bordel » ? Vérifiez] ! t[majuscule]u veux vendre des films ! Vous en pensez quoi [virgule] de cet enfoiré ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. les films [virgule avant c'est !!!!!!!!] c'est ce qui se vend le mieux, dit [vous en avez déjà un avant ; changez] doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des bandes ou d'autres bricoles, c'est [facile de faire sans] comme ça qu'on commence ici. Oui madame, se résigna à dire [encore !] Nicolas. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dana la rue [« Calle »] 5 de mayo.
Silvia me demande si le doute porte sur "mijo"? Si c'est le cas, elle est ok avec moi.
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah bordel ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, de cet enfoiré ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films? c'est ce qui se vend le mieux, ajouta doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des bandes ou d'autres bricoles, on commence comme ça ici. Oui madame, se résigna à répondre Nicolas. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la « Calle » 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah bordel [« putain » ?] ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, [cheville : « hein » ?] de cet enfoiré[cheville : « -là » ?] ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films?[virgule] c'est ce qui se vend le mieux, ajouta [expliqua ?] doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des bandes [clair ?] ou d'autres bricoles, on commence comme ça [virgule] ici. Oui [virgule] madame, se résigna à répondre [nécessaire ?] Nicolas [on ne traduit pas]. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui [virgule] madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la « Calle » [ajout nécessaire ?] 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vais vendre, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands-là valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner des pellicules ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame . Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vais vendre [« vendrai » ; pour éviter les deux « aller » ?], doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands-là [il y en a déjà un pour « enfoiré » / il faut supprimer l'un des deux] valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il va te donner [futur ?] des pellicules [?] ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame [espace en trop]. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands-ci valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des pellicules (je ne sais pas quel mot utiliser ici) ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands-ci [le contournement de la répétition est artificiel ; à mon avis, il vaut mieux carrément supprimer] valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des pellicules (je ne sais pas quel mot utiliser ici // « bandes ») ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des bandes ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
Qu'est-ce que je vendrai, doña ? Mon fils va te le dire. Je veux vendre des films. Ah putain ! Tu veux vendre des films ! Vous en pensez quoi, hein, de cet enfoiré-là ? Le basané et Barbu esquissèrent un sourire forcé. Les films, c'est ce qui se vend le mieux, expliqua doña Silvia, ces stands valent le triple de ce que je t'ai indiqué ; je laisse mon fils décider, il te donnera des bandes ou d'autres bricoles, on commence comme ça, ici. Oui, madame. Tu avais déjà vendu dans la rue ? Oui, madame, mais on nous a retiré l'autorisation. Dans quelle rue ? Dans la 5 de mayo.
OK.
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