mercredi 1 avril 2015

Projet Noëllia – phrases 24-26

Arriba, en el laberinto de pasillos de puertas idénticas, ya es fácil seguir el rastro del olor a podredumbre. 313, 314, 315… Toc-toc-toc, el capitán golpea la puerta con sus nudillos almohadillados. Tras él, una hilera de hombres termina de ajustarse las escafandras, frotan el mango de sus palas, liberan la tensión de los músculos de sus hombros, se escapa alguna risa nerviosa.

Traduction temporaire :
En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315… Toc-toc-toc, le capitaine frappe avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, une rangée d’hommes qui terminent d'ajuster leur scaphandre, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules ; des rires nerveux s’échappent.

6 commentaires:

Unknown a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est d’ores et déjà facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315…Toc-toc-toc, le capitaine frappe à la porte avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, une file d’hommes termine d’ajuster leur scaphandres, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules, des rires nerveux s’échappent.

Tradabordo a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est d’ores et déjà [nécessaire ?] facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315…Toc-toc-toc, le capitaine frappe à la porte [nécessaire ?] avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, une file d’hommes termine [naturel ?] d’ajuster leur [grammaire] scaphandres, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules, des rires nerveux s’échappent.

Unknown a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315…Toc-toc-toc, le capitaine frappe avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, un rang d’hommes terminent d'ajuster leur scaphandre, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules, des rires nerveux s’échappent.

Tradabordo a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315…Toc-toc-toc, le capitaine frappe avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, un rang [« rangée »] d’hommes [« qui »] terminent d'ajuster leur scaphandre, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules, [point-virgule] des rires nerveux s’échappent.

Unknown a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315… Toc-toc-toc, le capitaine frappe avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, une rangée d’hommes qui terminent d'ajuster leur scaphandre, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules ; des rires nerveux s’échappent.

Tradabordo a dit…

En haut, dans le labyrinthe de couloirs, de portes identiques, il est facile de suivre l’odeur de pourriture. 313, 314, 315… Toc-toc-toc, le capitaine frappe avec ses petits doigts potelés. Derrière lui, une rangée d’hommes qui terminent d'ajuster leur scaphandre, frottent le manche de leur pelle, libèrent la tension des muscles de leurs épaules ; des rires nerveux s’échappent.

OK.