Tres kilómetros al oeste estaba la reserva Chekura donde había nacido Mailén, la mujer que nos traía manzanas verdes una o dos veces por semana. Mailén era bajita, tenía las tetas muy grandes y las piernas gruesas. Nunca se quejaba por nada y le gustaba cantar. Mailén fue la primera que me habló del don. “Sos de los que llevan piedras al río”, me dijo agarrándome las manos y mirándome a los ojos. Se había ofrecido a ayudar a mamá con los preparativos para mi fiesta de cumpleaños. Cuando le pregunté qué quería decir, sonrió y me despeinó la cabeza. Cumplía once años y no tardaría mucho en olvidar sus palabras.
Traduction temporaire :
À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura, où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Elle était petite, avait de très gros seins et des jambes potelées. Elle ne se plaignait jamais de rien et aimait chanter. Mailén fut la première à me parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », m'annonça-t-elle en m'attrapant les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire, elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. J'avais onze ans et je ne mettrais pas longtemps à oublier ses paroles.
À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura, où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Elle était petite, avait de très gros seins et des jambes potelées. Elle ne se plaignait jamais de rien et aimait chanter. Mailén fut la première à me parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », m'annonça-t-elle en m'attrapant les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire, elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. J'avais onze ans et je ne mettrais pas longtemps à oublier ses paroles.
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À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Mailén était petite, avait de très gros seins et de lourdes jambes. Elle ne se plaignait jamais de rien et elle aimait chanter. Mailén fut la première à parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », me dit-elle en m'attrapant fortement les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire, elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. Je fêtais mes onze ans et je n'avais pas dû mettre longtemps à oublier ses paroles.
À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura [virgule] où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Mailén [« Elle » ? Comme vous voulez…] était petite, avait de très gros seins et de lourdes [pas exactement ce qui est dit] jambes. Elle ne se plaignait jamais de rien et elle aimait chanter. Mailén fut la première à [et le « me » espagnol ! -4 au concours !!!!!!!]parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », me dit-elle en m'attrapant fortement [pourquoi cet ajout ?] les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire [ici OK, mais supprimez celui qu'il y a avant ; il y a certainement une autre solution… en fonction du ton, de qui parle, du contexte, etc.], elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. Je fêtais [vous avez déjà « fête » plus haut] mes onze ans et je n'avais pas dû [TEMPS] mettre longtemps à oublier ses paroles.
À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura, où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Elle était petite, avait de très gros seins et des jambes potelées. Elle ne se plaignait jamais de rien et aimait chanter. Mailén fut la première à me [aaaaah je l'ai...oublié! Impardonnable, trop bête!] parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », m'annonça-t-elle en m'attrapant les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire, elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. Je célébrais mes onze ans [ou "J'avais onze ans"] et je ne mettrais pas longtemps à oublier ses paroles.
À trois kilomètres vers l'ouest, se trouvait la réserve Chekura, où était née Mailén, la femme qui nous apportait des pommes vertes une ou deux fois par semaine. Elle était petite, avait de très gros seins et des jambes potelées. Elle ne se plaignait jamais de rien et aimait chanter. Mailén fut la première à me parler du don. « Tu fais partie de ceux qui portent des pierres au fleuve », m'annonça-t-elle en m'attrapant les mains et me regardant dans les yeux. Elle avait offert son aide à maman pour les préparatifs de ma fête d'anniversaire. Quand je lui demandai ce qu'elle voulait dire, elle sourit et m'ébouriffa les cheveux. J'avais onze ans et je ne mettrais pas longtemps à oublier ses paroles.
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