Pasaron cuatro años desde que dejé El Pedregoso. Durante todo el tiempo que viví allá cargué con piedras que aunque hubiese querido no podía simplemente dejar en el río. Hoy, a cientos de kilómetros de distancia, decidí ponerme a escribir.
“Escribir es ser medio buchón”, había dicho Marcelo en una de sus clases.
Y no es ningún don.
Traduction temporaire :
Cela faisait maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté le poids de plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture. « Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours. Et ça, ce n'était en rien un don.
Cela faisait maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté le poids de plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture. « Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours. Et ça, ce n'était en rien un don.
6 commentaires:
Cela faisait maintenant quatre ans que j'étais parti du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté plusieurs pierres que je ne pouvais simplement déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
Cela faisait [temps ! Jamais l'imparfait à la place du passé simple… en tout cas pas dans le cadre d'une version de concours. Promis ?] maintenant quatre ans que j'étais parti [simplifiez-vous la tâche avec un simple substantif] du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté [FS ?] plusieurs pierres que je ne pouvais simplement [« pas » ?] déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
Cela faisait [Promis promis, ça faisait tellement plus naturel... mais bon sinon version concours: Quatre ans passèrent depuis...] maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais transporté [FS ? /// Je ne pensais pas, je le prenais dans son 1er sens "I.Avoir sur soi le poids, la charge de quelque chose" ou "1. Porter, soutenir une chose pesante, en recevant son poids, sa poussée." mais c'est peut-être trop ambigu] plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
Cela faisait maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais transporté [FS ? /// Je ne pensais pas, je le prenais dans son 1er sens "I.Avoir sur soi le poids, la charge de quelque chose" ou "1. Porter, soutenir une chose pesante, en recevant son poids, sa poussée." mais c'est peut-être trop ambigu ///// dans ce cas, ajoutez « le poids », pour qu'on comprenne bien que c'est symbolique] plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
Voilà, vous corrigerez ça. Ensuite, vous irez dans « Travaux en cours » (colonne de droite du blog), vous prendrez votre traduction et vous relirez bien. Quand cela est terminé, vous me l'envoyez par mail – je publierai bientôt dans l'une des anthologies de Lectures d'ailleurs (ça va prendre un peu plus de temps que d'habitude parce qu'elle est nouvelle : il faut faire la couverture et quelqu'un est en train de traduire la préface).
+ je vous envoie un autre texte à commencer. Je vous l'ai dit : jusqu'au concours, je ne vous lâche pas. C'est votre destin ! :-)
Cela faisait maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté le poids de plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
Cela faisait maintenant quatre ans depuis mon départ du Rocailleux. Pendant tout ce temps où j'avais vécu là-bas, j'avais supporté le poids de plusieurs pierres que je ne pouvais simplement pas déposer dans le fleuve, même si j'aurais aimé. Aujourd'hui, à quelques centaines kilomètres de distance, j'ai décidé de me mettre à l'écriture.
« Écrire, c'est avoir la capacité de presque tout avaler », avait expliqué Marcelo lors d'un de ces cours.
Et ça, ce n'était en rien un don.
OK.
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