-Que te gustara de un modo especial. Que la conversación con Ema te fuera una especie de respiración, algo refrescante, porque cambias...
-No seas tonta.
-Cambias -dijo ella-. Creo que cambias. O no sé. En cambio, no lo niegues, por verlo a él no darías un paso.
-Es un hombre insignificante y gris, pero al que debo cosas -dijo él.
-Sí. En cambio, no sé, me parece que dos palabras de Ema te levantaran, te hicieran bien.
-No seas tonta -dijo él-. También me aburre.
-¿Por qué pretender que te aburre? ¿Por qué decir lo contrario de lo que realmente es?
-No tengo por qué decir lo contrario de lo que realmente es. Eres terca. Me aburre Leites y me aburre Ema y me aburre todo lo que los rodea y las cosas que tocan.
-Te fastidia todo lo que los rodea. Pero por otra cosa-dijo ella.
-¿Por qué otra cosa?
-Porque no puedes soportar la idea de esa cosa grotesca que es Ema unida a un hombre tan inferior, tan trivial.
Traduction temporaire :
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler à Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes…
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne bougerais même pas d'un pouce.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne bougerais même pas d'un pouce.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
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— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler a Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes...
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je ne sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir lui tu ne bougerais pas d'un poil.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je ne sais pas, il me semble que deux mots d'Ema te relèveraient, te feraient te sentir bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi dire le contraire de ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de dire le contraire de ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, et tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour autre chose.
— Pourquoi pour autre chose ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit avec un homme si inférieur, si banal.
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler a [grammaire] Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes... [raccourci clavier des points de suspension]
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je ne [nécessaire ?] sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir [virgule] lui [virgule] tu ne bougerais pas d'un poil [bof].
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je ne [nécessaire ?] sais pas, il me semble que [naturel dans un dialogue ?] deux mots d'Ema te relèveraient [naturel ? J'hésite… Le dirait-on spontanément comme ça ?], te feraient te sentir bien [« te feraient du bien » ?].
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi dire [là, il y a une solution facile pour éviter « dire »] le contraire de ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de dire [idem] le contraire de ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, et [nécessaire ?] tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour autre chose [un moyen de ne pas répéter « chose » ici ? Avec « raison » ?].
— Pourquoi pour autre chose [le cas échéant, il faudra adapter ici] ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit avec [le « unida » n'est quand même pas superflu] un homme si [« aussi » ?] inférieur, si [« aussi » ?] banal.
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler à Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes…
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne ferais même pas le premier pas.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler à Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes…
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne ferais même pas le premier pas [pas exactement le sens de cette expression ; avec « bouger d'un pouce » ?].
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler à Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes…
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne bougerais même pas d'un pouce.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
— Que tu aimes ça d'une manière particulière. Parler à Ema te procure une sorte de respiration, quelque chose de rafraichissant, parce que tu changes…
— Ne sois pas bête.
— Tu changes, dit-elle. Je crois que tu changes. Ou je sais pas. En revanche, ne nie pas que pour le voir, lui, tu ne bougerais même pas d'un pouce.
— C'est un homme insignifiant et gris, mais auquel je dois des choses.
— Oui. Par contre, je sais pas, on dirait que deux mots d'Ema te raviveraient, te feraient du bien.
— Ne sois pas bête. Elle m'ennuie aussi.
— Pourquoi prétendre qu'elle t'ennuie ? Pourquoi mentir sur ce qu'il en est réellement ?
— Je n'ai aucune raison de mentir sur ce qu'il en est réellement. Tu es têtue. Leites m'ennuie, Ema m'ennuie, tout ce qui les entoure et toutes les choses qu'ils font m'ennuient aussi.
— Tout ce qui les entoure t'énerves. Mais pour une autre raison.
— Quelle autre raison ?
— Parce que tu ne peux pas supporter l'idée grotesque qu'Ema soit unie à un homme aussi inférieur, aussi banal.
OK.
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