XII
No podría haber alegado desconocer el artículo 173 de la Constitución Universal, nadie podía hacerlo porque era enseñado junto a las primeras letras. “La coexistencia de dos realidades lleva implícita la existencia de dos jurisdicciones penales y las condenas a los delitos cometidos en cada una de ellas deben purgarse en la realidad correspondiente”. Es por esto que una persona podía estar libre en la realidad analógica y encarcelada en la virtual. Me gustaría agregar “y viceversa” pero, de hecho, ya casi nadie que no fuera rico (y por ende capaz de permitirse esclavos de ADN replicado en el mercado negro) cometía delitos -ni hacía ninguna otra cosa más allá de conservar sus signos vitales- en la realidad analógica, al fin y al cabo, una realidad subordinada para el común de los seres vivos de nuestro atestado y agotado planeta.
Traduction temporaire :
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Je ne pourrais pas avoir allégué méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; vu qu’il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture, nul ne pouvait l’ignorer. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines sanctionnant les délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». Raison pour laquelle quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque personne qui ne soit pas riche (et par conséquent en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits – et ne faisait quoi que ce soit d’autre que conserver ses constantes vitales – dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendait le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
6 commentaires:
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Je n’aurais pas pu prétexter méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; personne ne pouvait l’ignorer, car il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines liées aux délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». C’est pourquoi quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque aucune personne riche (et par conséquent, en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits –et ne faisait rien d’autre que conserver leurs constantes vitales– dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendaient le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
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Je n’aurais pas pu prétexter [pourquoi tu changes N] méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; personne ne pouvait l’ignorer, car [passe par « vu que » et mets-le au débit] il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines liées aux [« sanctionnant les » ?] délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». C’est pourquoi [« Raison pour laquelle » ; évite les « c'est »] quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque aucune personne [lu trop vite] riche
(et par conséquent, en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits –et ne faisait rien d’autre que conserver leurs constantes vitales– dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendaient le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
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Je ne pourrais pas avoir prétexté méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; vu qu’il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture, personne ne pouvait l’ignorer. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines sanctionnant les délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». Raison pour laquelle quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque personne qui ne soit pas riche (et par conséquent, en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits –et ne faisait rien d’autre que conserver leurs constantes vitales– dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendait le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
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Je ne pourrais pas avoir prétexté [pourquoi tu changes ? Cf mon commentaire précédent] méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; vu qu’il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture, personne [« nul » ?] ne pouvait l’ignorer. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines sanctionnant les délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». Raison pour laquelle quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque personne qui ne soit pas riche (et par conséquent en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits –[espace]et ne faisait rien [« quoi que ce soit » ?] d’autre que conserver leurs [« ses » ? Vérifie] constantes vitales[espace]– dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendait le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
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Je ne pourrais pas avoir allégué [pourquoi tu changes ? Cf mon commentaire précédent // je pensais que c’était pour la forme verbale : « je n’aurais pas pu » ou « je ne pourrais pas avoir » ?] méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; vu qu’il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture, nul ne pouvait l’ignorer. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines sanctionnant les délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». Raison pour laquelle quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque personne qui ne soit pas riche (et par conséquent en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits – et ne faisait quoi que ce soit d’autre que conserver ses constantes vitales – dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendait le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
XII
Je ne pourrais pas avoir allégué méconnaître l’article 173 de la Constitution Universelle ; vu qu’il était enseigné au moment de l’apprentissage de la lecture, nul ne pouvait l’ignorer. « La coexistence de deux réalités rend implicite l’existence de deux juridictions pénales, et les peines sanctionnant les délits perpétrés dans chacune d’elle doivent être purgées dans la réalité correspondante ». Raison pour laquelle quelqu’un pouvait être libre dans la réalité analogique, et en prison dans la réalité virtuelle. J’aimerais ajouter « et vice-versa » mais, en fait, presque personne qui ne soit pas riche (et par conséquent en mesure de s’offrir des esclaves issus d’ADN reproduit au marché noir) ne commettait de délits – et ne faisait quoi que ce soit d’autre que conserver ses constantes vitales – dans la réalité analogique. Cette dernière était, au bout du compte, une réalité dont dépendait le commun des mortels de notre planète saturée et épuisée.
OK.
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