samedi 6 février 2016

Projet Chloé T 3 – phrases 55-64

¡Qué chucha insultas, oe! –intervine, más motivado por impresionarla que por valiente– Déjala decir lo que piensa ya que tú ni siquiera haces eso. Tienes la cabeza por las huevas.
Te achoraste –dice Iosú–, ¿y qué pasó te hicieron la bronca?
No –dice Jualma–, el huevón se paró y después de unos empujones nos separaron. Aleh se había apartado unos metros. La vi bastante afectada y me acerqué.
No le hagas caso –le dije–, está borracho.
Nadie entiende nada –dijo sin mirarme–, nada de nada.
¡Y aprovechaste el pánico y te la chapaste! –dice Iosú.

Traduction temporaire :

— C’est quoi ces putains d’insultes ! me suis-je interposé non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, lance Iosú à Jualma, et alors, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non, le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

10 commentaires:

Mme B. a dit…

J'ai encore du mal à évaluer "le seuil de tolérance de reformulation"… J'ai peut-être été trop loin parfois.


— C’est quoi ces putains d’insultes! M’interposai-je non pas par courage, mais plutôt pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, dit Iosú. Et alors, qu’est ce qu’il s’est passé? Ils t’ont cassé la gueule ?
— Non, répond Jualma, le connard s’est arrêté là et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée à quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité du malaise et tu te l’es tapée !

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces.

Mme B. a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! M’interposai-je non pas par courage, mais plutôt pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, dit Iosú. Et alors, qu’est ce qu’il s’est passé ? Ils t’ont cassé la gueule ?
— Non, répond Jualma, le connard s’est arrêté là et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée à quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité du malaise et tu te l’es tapée !

Tradabordo a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! M[miniscule]’interposai-je non pas par courage, mais plutôt [supprime] pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé [à qui il parle ? À la fille ?], dit [tu l'as juste avant] Iosú. Et alors, qu’est ce qu’il s’est passé ? Ils t’ont cassé la gueule [FS ?] ?
— Non, répond Jualma, le connard s’est arrêté là [nécessaire ?] et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée à [« de » ?] quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité du malaise [FS ?] et tu te l’es tapée ! [il faut que tu précises qui parle ; c'est déjà assez confus]

Mme B. a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! m’interposai-je [« me suis-je interposé » ?] non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, commente Iosú à Jualma. Et alors, qu’est ce qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non, répond Jualma, le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

Tradabordo a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! m’interposai-je [« me suis-je interposé » ? Je ne sais pas ; tu étais à quel temps, jusque-là ? Regarde dans « Travaux en cours »] non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, commente [pas très naturel] Iosú à Jualma. Et alors, qu’est ce [tiret] qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non, répond Jualma [pas besoin de repréciser], le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

Mme B. a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! me suis-je interposé non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, lance Iosú à Jualma. Et alors, qu’est ce-qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non,le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

Tradabordo a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! me suis-je interposé non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, lance Iosú à Jualma, et alors, qu’est ce-qu’il [tiret mal placé !] s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non,[espace]le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

Mme B. a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! me suis-je interposé non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, lance Iosú à Jualma, et alors, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non, le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

Tradabordo a dit…

— C’est quoi ces putains d’insultes ! me suis-je interposé non pas par courage, mais pour l’impressionner. Laisse-la dire ce qu’elle pense, puisque toi, t’en es même pas capable. T’as rien dans le crâne.
— Tu t’es rebellé, lance Iosú à Jualma, et alors, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ils ont cherché la baston ?
— Non, le connard s’est arrêté et après quelques bousculades, on nous a séparés. Aleh s’était éloignée de quelques mètres. J’ai vu qu’elle était secouée et je me suis approché.
— Fais pas gaffe à lui, la rassurai-je, il est bourré.
— Personne ne comprend rien, soupira-t-elle sans me regarder, rien de rien.
— Et t’as profité de la panique et tu te l’es tapée ! s’exclame Iosú.

OK.

Je crois que j'ai déjà posté la suite.