lundi 8 février 2016

Projet Fanny – phrases 234-238

Cuando seis meses después te diagnosticaron cáncer de hígado, los médicos no nos permitieron tener ninguna esperanza. La enfermedad estaba extendida ya por gran parte de tu organismo, la metástasis era irreversible. Lloramos y lloramos durante días enteros, nos desesperamos, nos tiramos del pelo, decidimos suicidarnos juntos, decidimos que merecía la pena vivir juntos tus últimos días…
Cuando acepté que no había vuelta atrás, pero que no iba a quedarme cruzado de brazos, imaginé un nuevo comienzo. Compré el mejor hospital privado que pude encontrar, el más aislado, el más oculto, en la otra punta del mundo, porque decidí lo que tenía que hacer, y no iba a permitir que nadie me impidiese hacerlo. 

Traduction temporaire :

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie s'était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, les métastases étaient irréversibles. Nous avons pleuré et pleuré des jours entiers, nous nous sommes désespérés, nous sommes arrachés les cheveux, nous étions déterminés à nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours tous les deux…
Lorsque j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais décidé ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

6 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, la métastase était irréversible. Nous avons pleuré et pleuré pendant des jours entiers, nous nous sommes désespérés, arrachés les cheveux, nous avons décidé de nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours ensemble…
Quand j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais choisi ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

Tradabordo a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie [« s' » ?] était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, la métastase [pluriel en français, non ?] était irréversible. Nous avons pleuré et pleuré pendant [nécessaire ?] des jours entiers, nous nous sommes désespérés, arrachés [grammaire] les cheveux, nous avons décidé de nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours ensemble [un moyen de ne pas répéter ; ici ou celui d'avant… à vous de voir]…
Quand [vous en avez déjà un dans la section d'avant] j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais choisi [pas très adapté ici] ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

Fanny JAY a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie s'était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, les métastases étaient irréversibles. Nous avons pleuré et pleuré des jours entiers, nous nous sommes désespérés, nous sommes arrachés les cheveux, nous avons décidé de nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours ensemble tous les deux…
Lorsque j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais déterminer ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

Tradabordo a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie s'était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, les métastases étaient irréversibles. Nous avons pleuré et pleuré des jours entiers, nous nous sommes désespérés, nous sommes arrachés les cheveux, nous avons décidé de nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours tous les deux…
Lorsque j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais déterminer [« décidé », plus naturel, non ? Je sais qu'il est plus haut… alors il faut changer l'autre ;-)] ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

Fanny JAY a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie s'était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, les métastases étaient irréversibles. Nous avons pleuré et pleuré des jours entiers, nous nous sommes désespérés, nous sommes arrachés les cheveux, nous étions déterminés à nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours tous les deux…
Lorsque j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais décidé ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

Tradabordo a dit…

Six mois plus tard, quand ils t'ont diagnostiqué un cancer du foie, les médecins ne nous ont laissé aucun espoir. La maladie s'était déjà étendue dans une grande partie de ton organisme, les métastases étaient irréversibles. Nous avons pleuré et pleuré des jours entiers, nous nous sommes désespérés, nous sommes arrachés les cheveux, nous étions déterminés à nous suicider ensemble, que ça valait la peine de vivre tes derniers jours tous les deux…
Lorsque j'ai accepté l'idée qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, mais que je n'allais pas rester les bras croisés, j'ai imaginé un nouveau début. J'ai acheté le meilleur hôpital privé que j'ai pu trouver, le plus isolé, le plus caché, à l'autre bout du monde, parce que j'avais décidé ce qu'il fallait faire, et je n'allais permettre à personne de m'en empêcher.

OK.