No aparta la cortina de la ducha, que nos cobija, pero sabe, siente, que estamos allí. El sudor le recorre la espalda. Cree estar volviéndose loco. Abre la cerveza y vacía su contenido en el fregadero. Entonces se arrepiente, bebe con avidez. Sabemos que esta tarde regresará al supermercado, comprará más cerveza, adormecerá el miedo con alcohol. Oh, delicioso. A veces sufrimos alguna pérdida. La mujer del maquillaje espeso decide escaparse de casa con su hijo, y ya no podemos percibir su miedo. Nos tambaleamos, hambrientas. Yo, sobre todo, me doblo sobre mí misma, con punzadas en el estómago. Me apoyo en mi gemela. Renqueamos hacia el supermercado, con el infame carrito. También tenemos derecho a realizar nuestra propia compra.
Traduction temporaire :
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux ! Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons plus percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux ! Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons plus percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
16 commentaires:
Rien ne sépare le rideau de douche, qui nous abrite, mais il sait, il sent, que nous sommes là-bas. La sueur lui parcourt le dos. Il croit devenir fou. Il ouvre la bière et vide son contenu dans l'évier. Il regrette aussitôt, et boit avec avidité. Nous savons que cet après-midi il reviendra au supermarché, qu’il achètera plus de bière, qu’il calmera la peur avec de l'alcool. Oh, délicieux. Parfois nous souffrons d’une certaine perte. La femme au maquillage épais décide de s'enfuir de chez elle avec son enfant, alors on ne peut plus sentir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, en particulier, je me replie sur moi-même, des douleurs à l'estomac. Je m’appuie sur ma jumelle. Nous clopinons jusqu'au supermarché, avec le fameux chariot. Nous avons aussi le droit de faire nos propres courses.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui parcourt le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre la bière et il vide son contenu dans l'évier. Alors, il se repent, il boit avec envie. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, il achètera plus de bière. Il apaisera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux.
Quelque fois nous souffrons d'une défaite. La femme du maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous pouvons pas alors percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des tiraillements dans l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec l'infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de réaliser notre propre achat.
Là, Hadjer, je prends la version de Cécilia parce qu'elle n'a pas le CS du début…
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache [virgule avant « mais »] mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui parcourt le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre la [possessif ?] bière et il [nécessaire ?] vide son contenu dans l'évier. Alors, il se repent [ou « regrette » ?], il [ou avec un « et » à la place ?] boit avec envie [pas ce que dit la V.O.]. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, [« qu' »]il achètera plus [« davantage » ?] de bière. Il apaisera [texte ?] la peur avec l'alcool. Oh, délicieux. [mettez un point d'exclamation]
Quelque fois [il y a plus simple] [virgule puisque vous ne commencez pas par le sujet ; à retenir pour les prochaines fois] nous souffrons [mal dit] d'une défaite. La femme du [« au » ?] maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous [« ne »] pouvons pas alors [avancez le « alors » + vous en avez un plus haut qu'il faudra supprimer – il n'est pas utile] percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des tiraillements [pas plus fort ?] dans l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec l'[possessif ?]infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de réaliser notre propre achat [pas très naturel].
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui parcourt le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et vide son contenu dans l'évier. Il regrette (effectivement j'avais hésité entre repentir et regretter, mais après j'ai choisi le littéral) et boit avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Souvent, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et alors, nous ne pouvons pas percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des crampes dans l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos courses.
Désolé mais c'est pas mal injuste quand même, un contresens ça peut arriver...
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui parcourt le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et vide son contenu dans l'évier. Il regrette, et boit avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Parfois, nous souffrons d'une perte. La femme au maquillage trop épais décide alors de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons pas percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs dans l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Ben oui, évidemment que ça arrive… mais en quoi c'est injuste puisque vous n'êtes pas évaluée là-dessus ?????? Je n'ai pas un tableau avec qui a commencé quoi et terminé telle ou telle section, qui a fait un CS ou pas !!!!!!! Là, moi, je ne vois que le côté pratique de la chose : on gagne une étape de ne pas avoir à dire : ça, c'est un CS. Et je prends la peine / j'ai la politesse de vous l'expliquer. ET JE NE VOUS AI PAS REPROCHÉ D'AVOIR FAIT CE CS.
Vraiment, il faut voir cet exercice comme une bonne occasion de faire des progrès, pas comme un moyen de vous coincer ou de vous mettre en concurrence.
J'aimerais que vous l'envisagiez comme ça… notamment pour mesurer que j'y passe beaucoup de temps, précisément parce que je pense que c'est utile et important pour vous. Je vous rappelle que ce travail est bénévole pour moi (que je ne suis pas payée pour). Donc, ne ramenons pas cela à c'est juste ou pas juste.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui parcourt [« coule »] le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et vide son contenu [vu qu'il y a les deux possessif, c'est un peu bizarre ; passer par « en »] dans l'évier. Il regrette, et boit [cheville : « finalement »] avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux [adjectif en V.O.] !
Parfois, nous souffrons d'une perte [CS]. La femme au maquillage trop épais décide alors [pas en V.O., au fait] de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons pas [non, à cause du « ya »] percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs dans [« à »] l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux ! (Ici je comprends pas, j'ai du coup cherché la traduction de "delicioso" qui veut dire "délicieux" et qui est un adjectif. Pouvez-vous m'expliquer ce que je dois chercher exactement, merci)
Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et alors, nous ne pouvons pas percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Pour « délicieux », j'étais contrariée par le malentendu évident avec Hadjer et j'ai manqué d'attention :-)
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et alors [non… quand je vous ai demandé de traduire le « ya », ça n'impliquait pas l'ajout de « alors »… Il est à mettre en relation avec « no podemos »], nous ne pouvons pas percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
D'accord
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons plus percevoir sa peur. ( ah oui, j'avais mal compris) Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Je n'ai pas fait de reproche quant à une concurrence ou quant à la notation par rapport à un contresens, au temps pour moi si vous l'avez perçu comme ça, je comprend totalement que ce travail est bénévole et en aucun cas je ne le critique, bien au contraire, simplement c'est assez frustrant sur le moment parce que le but recherché c'est comme vous l'avez dit, s'améliorer. Ce n'est pas une course à la notation pour moi.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons plus percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
Bon… tant mieux. Et rassurez-vous, vous vous améliorez aussi en regardant ce qu'a fait Cécilia. C'est aussi le but de travailler en binôme. D'autant que vos propositions ne varient pas non plus dans de trop grandes proportions – et heureusement, d'ailleurs ;-)
Allez, on se remet au boulot ! D'autant que je suis contente : vous avancez bien.
Il n'écarte pas le rideau de la douche, qui nous cache, mais il sait, il sent, que nous sommes là. La sueur lui coule dans le dos. Il croit qu'il est en train de devenir fou. Il ouvre sa bière et en vide le contenu dans l'évier. Il regrette, et boit finalement avec avidité. Nous savons que cette après-midi, il retournera au supermarché, qu'il achètera davantage de bière. Il calmera la peur avec l'alcool. Oh, délicieux !
Parfois, nous subissons une défaite. La femme au maquillage trop épais décide de s'échapper de chez elle avec son fils et nous ne pouvons plus percevoir sa peur. Nous chancelons, affamées. Moi, surtout, je me replis sur moi-même, avec des douleurs à l'estomac. Je m'appuie sur ma jumelle. Nous clopinons vers le supermarché avec notre infâme chariot. Nous aussi, nous avons le droit de faire nos propres courses.
OK.
Cécilia ?
Hadjer,
Quand vous aurez terminé ce texte… vous pourrez, si vous le voulez en faire un seule. Pourquoi pas ? À de vous de voir si ça vous tente.
Oui, je c'est bon, je suis d'accord
Oups, j'ai fait une faute "je" de "c'est bon" ne doit pas y être dans la phrase
Pas grave ! :-)
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