lundi 8 février 2016

Projet Justine 4 – phrases 153-159

Las ventanas se cerraron una a una, escondiendo tras ellas la desagradable impresión a la que ya debíamos estar acostumbrados, y un silencio respetuoso se apoderó del edificio hasta el día siguiente. La pesadez del ambiente aquella noche contrastó con el buen humor con que llegó mi esposa de trabajar, he recibido un buen aumento y muy pronto podremos largarnos de aquí, si embaucamos a alguien como hicieron con nosotros. Al notar mi ánimo se puso seria, recordando de golpe que había habido junta esa tarde.
A quién le tocó esta vez, preguntó.
Al señor serio, el del piso nueve.
Me dio un beso en la mejilla y se fue al baño para ver si tenía la suerte de encontrar agua saliendo de la ducha.
A ver quién se queda con su estacionamiento, alcancé a oír que decía tras la puerta.

Traduction temporaire :

Les fenêtres se fermèrent l'une après l'autre, cachant la désagréable impression à laquelle nous devions désormais tous être habitués, et un silence respectueux s'empara de l'immeuble jusqu'au lendemain. Ce soir-là, la lourdeur de l'atmosphère contrasta avec la bonne humeur de mon épouse lorsqu'elle rentra du travail. J'ai eu une belle augmentation et nous pourrons filer d'ici très bientôt, si on arrive à embobiner quelqu'un comme ç'a été le cas pour nous. Devant ma mauvaise humeur, elle devint sérieuse, se rappelant qu'il y avait eu une réunion dans l'après-midi.
À qui le tour, cette fois ? s'enquit-elle.
Au monsieur sérieux, celui du neuvième étage.
Elle m'embrasa sur la joue avant d'aller voir dans la salle de bain si, par chance, elle aurait de l'eau pour prendre une douche.
Voyons qui va récupérer sa place de parking, l'entendis-je dire derrière la porte.

5 commentaires:

Justine a dit…

Les fenêtres se fermèrent l'une après l'autre, cachant derrière elles la désagréable impression à laquelle nous devions désormais tous être habitués et un silence respectueux s'empara de l'immeuble jusqu'au lendemain. Ce soir-là, l’atmosphère pesante contrasta avec la bonne humeur de mon épouse lorsqu'elle rentra du travail ; j'ai reçu une belle augmentation et, très bientôt, nous pourrons filer d'ici, si on arrive à embobiner quelqu'un comme on l'a fait avec nous. En remarquant mon humeur, elle devint sérieuse, se rappelant soudain qu'il y avait eu une réunion cette après-midi.
À qui le tour, cette fois ? s'enquit-elle.
Au monsieur sérieux, celui du neuvième étage.
Elle m'embrasa sur la joue avant d'aller dans la salle de bain pour voir si, par chance, de l'eau allait sortir de la douche.
Voyons qui va prendre sa place de parking, l'entendis-je dire derrière la porte.

Tradabordo a dit…

Les fenêtres se fermèrent l'une après l'autre, cachant derrière elles [nécessaire ?] la désagréable impression à laquelle nous devions désormais tous être habitués [virgule] et un silence respectueux s'empara de l'immeuble jusqu'au lendemain. Ce soir-là, l’atmosphère pesante [texte ; OK pour le changement de syntaxe, mais sur ce petit bout, garde la V.O.] contrasta avec la bonne humeur de mon épouse lorsqu'elle rentra du travail ; [point] j'ai reçu [« eu » ?] une belle augmentation et, très bientôt [mets-le après ; ça évitera les virgules], nous pourrons filer d'ici, si on arrive à embobiner quelqu'un comme on l'a fait avec nous [« comme ç'a été le cas pour nous » ? Vois ce qui est mieux…]. En remarquant mon humeur [mal dit ; pas très clair + évite la répétition], elle devint sérieuse, se rappelant soudain [nécessaire ?] qu'il y avait eu une réunion cette [« dans l' »] après-midi.
À qui le tour, cette fois ? s'enquit-elle.
Au monsieur sérieux, celui du neuvième étage.
Elle m'embrasa sur la joue avant d'aller dans la salle de bain pour voir si, par chance, de l'eau allait sortir de la douche [simplifie].
Voyons qui va prendre sa place de parking, l'entendis-je dire derrière la porte.

Justine a dit…

Les fenêtres se fermèrent l'une après l'autre, cachant la désagréable impression à laquelle nous devions désormais tous être habitués, et un silence respectueux s'empara de l'immeuble jusqu'au lendemain. Ce soir-là, la lourdeur de l'atmosphère contrasta avec la bonne humeur de mon épouse lorsqu'elle rentra du travail. J'ai eu une belle augmentation et nous pourrons filer d'ici très bientôt, si on arrive à embobiner quelqu'un comme ç'a été le cas pour nous. Devant ma mauvaise humeur, elle devint sérieuse, se rappelant qu'il y avait eu une réunion dans l'après-midi.
À qui le tour, cette fois ? s'enquit-elle.
Au monsieur sérieux, celui du neuvième étage.
Elle m'embrasa sur la joue avant d'aller voir dans la salle de bain si, par chance, elle aurait de l'eau pour prendre une douche.
Voyons qui va récupérer sa place de parking, l'entendis-je dire derrière la porte.

Tradabordo a dit…

Les fenêtres se fermèrent l'une après l'autre, cachant la désagréable impression à laquelle nous devions désormais tous être habitués, et un silence respectueux s'empara de l'immeuble jusqu'au lendemain. Ce soir-là, la lourdeur de l'atmosphère contrasta avec la bonne humeur de mon épouse lorsqu'elle rentra du travail. J'ai eu une belle augmentation et nous pourrons filer d'ici très bientôt, si on arrive à embobiner quelqu'un comme ç'a été le cas pour nous. Devant ma mauvaise humeur, elle devint sérieuse, se rappelant qu'il y avait eu une réunion dans l'après-midi.
À qui le tour, cette fois ? s'enquit-elle.
Au monsieur sérieux, celui du neuvième étage.
Elle m'embrasa sur la joue avant d'aller voir dans la salle de bain si, par chance, elle aurait de l'eau pour prendre une douche.
Voyons qui va récupérer sa place de parking, l'entendis-je dire derrière la porte.

OK.

Tradabordo a dit…

Si je ne me trompe pas, c'est terminé… Tu peux relire – TRÈS ATTENTIVEMENT. Pas sûr qu'il ne manque pas une phrase ici ou là + remets la mise en page initiale.