samedi 20 février 2016

Projet Marion – phrases 47-57

—Si necesitan ayuda, estamos a disposición.
—Ayuda espiritual, agregó Paulina mientras servía Coca Cola. Somos cristianos. ¿Ustedes son cristianos?
Verónica tuvo que admitir que no.
—Ah, pero nunca es tarde para Dios, dijo Paulina.
Mariela llegó en ese momento, con un kilo de helado en un pote de telgopor, envuelto en una bolsa de plástico. Lo dejó sobre la mesa para saludar a Verónica: parecía contentísima de verla. Ella misma sirvió el helado en unas copas que llamó “especiales”. Mariela estaba bronceada y olía a coco; ni bien terminó de tomar su helado corrió hasta la pileta y se zambulló con un golpe de agua que asustó a los perros e hizo enojar a su madre. Verónica la siguió con cautela: entró al agua cuidadosamente, un pie por vez, después los muslos, el vientre, hasta que hundió la cabeza bajo el agua y ahí, en esa tranquilidad celeste, con los pulmones llenos de aire y la boca bien cerrada, pensó que nunca, nunca quería volver a su casa.

Traduction temporaire :

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes aussi ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, dans un sac plastique. Elle le posa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait extrêmement contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle qualifia de « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau. Là, dans cette tranquillité céleste, les poumons emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voulait rentrer chez elle.

6 commentaires:

Unknown a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, enveloppé dans un sac plastique. Elle le laissa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait très contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle appela « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé de manger sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures [?] qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau et là, dans cette tranquillité céleste, les poumons remplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voudrait rentrer chez elle.

Tradabordo a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes [cheville : « aussi » ou quelque chose comme ça ; sinon, c'est bizarre] ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, enveloppé [nécessaire ?] dans un sac plastique. Elle le laissa [« posa » ?] sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait très [superlatif : pas « très »] contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle appela [avec « qualifier » ?] « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé de manger [nécessaire ? J'hésite] sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau et [point] là, dans cette tranquillité céleste, les poumons r[?]emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voudrait [« voulait » ?] rentrer chez elle.

Unknown a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes aussi ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, dans un sac plastique. Elle posa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait très [je ne comprends pas - enchantée ?] contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle qualifia de « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau. Là, dans cette tranquillité céleste, les poumons emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voulait rentrer chez elle.

Tradabordo a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes aussi ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, dans un sac plastique. Elle posa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait très [je ne comprends pas - enchantée ? muy = très / superlatif = extrêmement… Ça, c'est la théorie ; maintenant, voyez comment vous régler le problème ici. Mais n'oubliez pas la question de la gradation] contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle qualifia de « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau. Là, dans cette tranquillité céleste, les poumons emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voulait rentrer chez elle.

Unknown a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes aussi ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, dans un sac plastique. Elle le posa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait extrêmement contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle qualifia de « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau. Là, dans cette tranquillité céleste, les poumons emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voulait rentrer chez elle.

Tradabordo a dit…

— Si vous avez besoin d'aide, nous sommes à votre disposition.
— D'aide spirituelle, ajouta Paulina pendant qu'elle servait le Coca. Nous sommes chrétiens. Vous l'êtes aussi ?
Verónica dut admettre que non.
— Ah, mais il n'est jamais trop tard pour Dieu, déclara Paulina.
Mariela arriva à ce moment-là, avec un kilo de glace dans un pot Telgopor, dans un sac plastique. Elle le posa sur la table pour dire bonjour à Verónica : elle paressait extrêmement contente de la voir. Elle servit elle-même la glace dans des coupes qu'elle qualifia de « spéciales ». Mariela était bronzée et sentait la noix de coco ; à peine eut-elle terminé sa glace qu'elle courut jusqu'à la piscine et plongea en provoquant des éclaboussures qui effrayèrent les chiens et mirent sa mère en colère. Verónica la suivit avec précaution : elle entra doucement dans l'eau, un pied après l'autre, puis les cuisses, le ventre, jusqu'à enfoncer sa tête sous l'eau. Là, dans cette tranquillité céleste, les poumons emplis d'air et la bouche bien fermée, elle pensa que jamais, jamais plus elle ne voulait rentrer chez elle.

OK.