No, definitivamente no podemos permitirlo, y créanme que mis colaboradores son muy persuasivos y conocen muchas técnicas para reanimarlos, los harán volver en sí, se los aseguro. Del mismo modo si se tapan los oídos, serán atados y si gritan, y, Dios no lo permita, pero si es necesario no dudaremos en llegar a esos extremos, amordazados. Tendrán que escuchar –fíjense que no es tanto lo que pido– el relato hasta el final. Ya sé que no se lo creen, que me consideran un charlatán, que me quieren desenmascarar, que quieren ufanarse de que “no es para tanto”, que vinieron acá para probarme más que para probarse, que creen que a esta altura ya no hay poesía que los espante. Palabras, nada más.
Traduction temporaire :
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, Dieu vous en préserve, mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand-chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais bien que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer en disant " il n'y a pas de quoi en faire tout un plat", que vous êtes venus là afin de me mettre à l'épreuve plutôt que pour vous mettre vous à l'épreuve, que vous croyez qu'à ce stade, il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, Dieu vous en préserve, mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand-chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais bien que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer en disant " il n'y a pas de quoi en faire tout un plat", que vous êtes venus là afin de me mettre à l'épreuve plutôt que pour vous mettre vous à l'épreuve, que vous croyez qu'à ce stade, il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
10 commentaires:
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon si vous vous bouchés les oreilles, vous serez attachés et si vous criez, et, Dieu ne le permet pas, mais si c'est nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, bâillonnés. Vous devrez écouter -rendez-vous compte que je ne demande pas autant- le récit jusqu'à la fin. Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que " ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me prouver plutôt que pour vous prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraient. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon [virgule] si vous vous bouchés [grammaire] les oreilles, vous serez attachés [ou : « on vous attachera » ? J'hésite…] et si vous criez, et, Dieu ne le permet pas [attention, en V.O., c'est du subj.], mais si c'est [nécessaire ?] nécessaire [virgule] nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, bâillonnés. Vous devrez écouter -[espace]rendez-vous compte que je ne demande pas autant[CS][espace]- le récit jusqu'à la fin.
Faisons déjà cela.
Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que " ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me prouver plutôt que pour vous prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraient. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, que Dieu ne le permette pas, mais si nécessaire, nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte que ce n'est pas pour autant ce que je demande - le récit jusqu'à la fin. Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que "ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me le prouver plutôt que pour vous le prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, que Dieu ne le permette pas [je pense qu'il ne faut pas bloquer sur « permettre » ; quelle est l'idée et surtout essayez de déterminer si ça va avec ce qui précède ou ce qui suit ?], mais si nécessaire, nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, [cheville nécessaire, non ? Ce « bâillonnés » est bizarre, non ? Relisez et voyez…] bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte que ce n'est pas pour autant [CS] ce que je demande - le récit jusqu'à la fin.
Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que "ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me le prouver plutôt que pour vous le prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, que Dieu vous en empêche, mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que "ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me le prouver plutôt que pour vous le prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, que Dieu vous en empêche, mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais déjà que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que "ce n'est pas important", que vous êtes venus là afin de me le prouver plutôt que pour vous le prouver, que vous croyez qu'à cette hauteur il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, que Dieu vous en empêche [non, ça n'est pas l'idée… En gros : j'espère pour vous que ça n'arrivera pas… Dites, j'avoue que j'ai oublié de quoi parle votre texte, mais j'ai hâte de savoir de quoi il retourne dans cette histoire bizarre :-)], mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand chose [tiret ? Vérifiez] - le récit jusqu'à la fin.
Ya sé que no se lo creen, que me consideran un charlatán, que me quieren desenmascarar, que quieren ufanarse de que “no es para tanto”, que vinieron acá para probarme más que para probarse, que creen que a esta altura ya no hay poesía que los espante. Palabras, nada más.
Je sais déjà [pas un « ya » = déjà] que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer du fait que [ça n'est pas correct] "ce n'est pas important" [pas exactement le sens], que vous êtes venus là afin de me le prouver plutôt que pour vous le prouver [FS], que vous croyez qu'à cette hauteur [CS] [virgule] il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, vous n'y avez pas intérêt, mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand-chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais bien que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer en disant "ce n'est pas grave", que vous êtes venus là afin de me mettre à l'épreuve plutôt que pour vous mettre à l'épreuve, que vous croyez que maintenant, il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
Non, ce n'est définitivement pas envisageable, et croyez-moi, mes collaborateurs sont très persuasifs et connaissent beaucoup de techniques pour vous réanimer, ils vous feront revenir à vous, je vous l'assure. De la même façon, si vous vous bouchez les oreilles, on vous attachera et si vous criez, et, vous n'y avez pas intérêt [« Dieu vous en préserve »], mais si nécessaire nous n'hésiterons pas à arriver à ces extrêmes, vous serez bâillonnés. Vous devrez écouter - rendez-vous compte je ne demande pas grand-chose - le récit jusqu'à la fin. Je sais bien que vous n'y croyez pas, que vous me considérez comme un charlatan, que vous voulez me démasquer, que vous voulez vous targuer en disant "ce n'est pas grave" [CS], que vous êtes venus là afin de me mettre à l'épreuve plutôt que pour vous mettre [cheville : « , vous » ?] à l'épreuve, que vous croyez que maintenant [ou « à ce stade » ? Comme vous préférez], il n'y a plus de poésie qui vous effraie. Des mots, rien de plus.
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