El cielo azul, la verde campiña con sus bosques y sus hondonadas, los valles cubiertos de flores y los arroyos serpenteando en los claros y espesuras, hacían de aquel paisaje un conjunto de una belleza incomparable. Mas el monarca nada vio: ningún matiz, ninguna línea, ningún detalle atrajo la atención de sus ojos de milano, clavados como dos ardientes llamas en el glorioso disco del sol. De súbito, un águila surgió del valle y flotó en los aires, bañándose en la luz.
Traduction temporaire :
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
19 commentaires:
Le ciel bleu,le grand terrain vert avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés, faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes vers le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, en se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu,[espace]le grand terrain [bof ici] vert avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés, [sans la virgule] faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés [« plantés » ? Je vous laisse trancher] comme deux flammes ardentes vers [pas ce que dit la V.O.] le glorieux disque du soleil. D'un coup [oral], un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, en [supprimez] se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande campagne verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés, faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes vers le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, en se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande campagne [pas exactement non plus / « étendue » ?] verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés, [cf mon commentaire à la proposition de Medea] faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes vers [cf mon commentaire précédent] le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, en [cf mon commentaire précédent] se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes dans [?] le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes dans [? SUR] le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Mais le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
OK.
Iris ?
Là, Iris, vous voyez que si vous aviez pris un peu plus de temps pour regarder mes commentaires à la première version de Medea, vous auriez parfaitement pu finaliser la phrase. Cela dit, j'insiste : ça n'est pas une compétition entre vous… et même si vous travaillez sur le même texte, vous êtes évaluée indépendamment. Donc pas d'absence d'équité, comme vous le pensez. Rassurez-vous. Je vous ai déjà répondu sur ce sujet dans le post précédent… Quand vous venez, validez ce qui a été terminé dans l'intervalle ET allez à la section d'après pour apporter votre pierre… mais en tenant compte de là où nous en sommes : proposition de Medea et mes commentaires. Vous avez votre place ! :-)
Désolée mais je sais pas comment il marche ce système, et quand je laisse un commentaire c'est toujours sur la base où vous êtes, surtout sur ce que Medea a fait. Après il y a des commentaires qui s'affichent sur mon écran et d'autres que non, là je peux rien faire. Et je sais parfaitement que c'est une note individuelle et c'est pour cela que je demande l'opportunité de participer car valider ça au moment de l'examen ne m'aidera pas.
Demandez à Medea de vous expliquer et ne vous fâchez pas. Vous n'y êtes pour rien… mais moi non plus !
J'etais en train fe lire le texte dans la rubrique projet en cours, et j'ai vu qu'il manquait ces 2 phrases car elles n'ont pas été validée je pense.
J'en profite donc pour changer un petit truc pour éviter les répétitions de "mais".
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Seulement le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Ah, bien vu.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Seulement [Pourtant ? + virgule] le monarque ne vit rien : cependant [supprimez], aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : cependant, aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : cependant [cf mon commentaire précédent à son sujet], aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : Aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : A[pas de majuscule après deux points]ucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
Le ciel bleu, la grande étendue verte avec ses forêts et ses grandes dépressions, les vallées couvertes de fleurs et les ruisseaux serpentant dans les clairières et les fourrés faisaient de ce paysage un ensemble d'une beauté incomparable. Pourtant, le monarque ne vit rien : aucune nuance, aucune ligne, aucun détail n'attira l'attention de ses yeux de milan, fixés comme deux flammes ardentes sur le glorieux disque du soleil. D'un coup, un aigle surgit de la vallée et flotta dans les airs, se baignant dans la lumière.
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OK. Allez, j'enregistre et on peut retourner à nos moutons.
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