mercredi 24 février 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 70-74

Cuando ella regresó al comedor, portando en una bandeja dos platos y dos vasos de vino tinto, volvimos a estar solos los dos; y quienquiera que estuviera en la cocina no demoró en marcharse por una puerta trasera, golpeán dola con tal fuerza que pude entender que el local quedaba a nuestra entera disposición. Yo podía haberle hecho muchas preguntas pero te mía escuchar respuestas que amilanaran mi fervor. Ella tam poco me habló de quién era, ni de qué hacía allí atendiendo sola ese restaurante. Me preguntó en qué consistía mi traba jo, también quiso saber si yo me sentía feliz viviendo en la gran ciudad. De rato en rato, con sus ojos basálticos observaba la puerta de la calle, que permanecía abierta de par en par, y en un momento dado yo empecé a ver cómo su pelo negro y ondulado empezaba a agitarse con un verde brillante, como las olas del lago que se estrellan contra la roca que hoy es mi guarida.

Traduction temporaire :
Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine ne tarda pas à s'éclipser par une porte de service, la claquant si fort que je compris que les lieux étaient désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions, mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient eu raison de mon enthousiasme. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si j'étais heureux d'habiter la ville. Avec ses yeux basaltiques, elle observait de temps en temps la porte d'entrée restée grande ouverte, et à un moment, je vis ses cheveux noirs et ondulés s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac se fracassant contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine, ne tarda pas à quitter les lieux par une porte de service, la claquant si fort que je compris que le local était désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient découragé ma ferveur. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si je me sentais heureux d'habiter la grande ville. De temps en temps, avec ses yeux basaltiques, elle observait la porte d'entrée restée grande ouverte, et à un moment donné, je me mis à voir comment ses cheveux noirs et ondulés commençaient à s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac qui se fracassent contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine, [la virgule] ne tarda pas à quitter les lieux par une porte de service, la claquant si fort que je compris que le local [on le dirait comme ça ?] était désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions [VIRGULE DEVANT « MAIS » !!!!!! WINGLURB, TE VOY A MATAR] mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient découragé ma ferveur [mal dit]. Elle non plus [« , elle » ? J'hésite] ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si je me sentais [bof] heureux d'habiter la grande ville. De temps en temps [placé après ? Essaie et vois ce qui est mieux…], avec ses yeux basaltiques, elle observait la porte d'entrée restée grande [tu l'as juste avant] ouverte, et à un moment donné, je me mis à voir comment [mal dit] ses cheveux noirs et ondulés commençaient à s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac qui se fracassent contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière [reprends la fin].

Sabrina a dit…

Hahaha !! OK je note la règle, il suffit juste de me la dire ;)

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine ne tarda pas à s'éclipser par une porte de service, la claquant si fort que je compris que les lieux étaient désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions, mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient eu raison de mon enthousiasme. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si j'étais heureux d'habiter la grande ville. Avec ses yeux basaltiques, elle observait de temps en temps la porte d'entrée restée totalement ouverte, et à un moment donné, je pus voir ses cheveux noirs et ondulés commencer à s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac se fracassant contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine ne tarda pas à s'éclipser par une porte de service, la claquant si fort que je compris que les lieux étaient désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions, mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient eu raison de mon enthousiasme. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si j'étais heureux d'habiter la grande ville. Avec ses yeux basaltiques, elle observait de temps en temps la porte d'entrée restée totalement [tu as décidément besoin de « grand » ici ; supprime celui d'avant… pas utile] ouverte, et à un moment donné [nécessaire ?], je pus [nécessaire ?] voir ses cheveux noirs et ondulés commencer à [nécessaire ?] s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac se fracassant contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

Sabrina a dit…

Non, tu as raison, ce n'est pas nécessaire, voire moche pour "moment donné", mais je n'aurais jamais osé supprimer ;)

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine ne tarda pas à s'éclipser par une porte de service, la claquant si fort que je compris que les lieux étaient désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions, mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient eu raison de mon enthousiasme. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si j'étais heureux d'habiter la ville. Avec ses yeux basaltiques, elle observait de temps en temps la porte d'entrée restée grande ouverte, et à un moment, je vis ses cheveux noirs et ondulés s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac se fracassant contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'elle revint, portant sur un plateau deux assiettes et deux verres de vin rouge, nous n'étions à nouveau que deux ; et quiconque se trouvait en cuisine ne tarda pas à s'éclipser par une porte de service, la claquant si fort que je compris que les lieux étaient désormais à notre entière disposition. J'aurais pu lui poser beaucoup de questions, mais je craignais d'entendre des réponses qui auraient eu raison de mon enthousiasme. Elle non plus ne me parla pas de qui elle était, ni de ce qu'elle faisait là, à s'occuper seule de ce restaurant. Elle me demanda en quoi consistait mon travail ; elle voulut également savoir si j'étais heureux d'habiter la ville. Avec ses yeux basaltiques, elle observait de temps en temps la porte d'entrée restée grande ouverte, et à un moment, je vis ses cheveux noirs et ondulés s'agiter dans un vert brillant, comme les vagues du lac se fracassant contre le rocher qui me sert aujourd'hui de tanière.

OK.