Tres Ventanas
La tercera ventana era la de Irene. Yo siempre tuve por ella un poco de admiración y un poco de miedo. Me llevaba seis años. A veces le permitían que se sentara a la mesa, en el comedor grande, cuando las visitas eran de confianza. Mis hermanas mayores hablaban de ella, en voz baja. Le habían sorprendido secretos y, al comentarlos con un tono regocijado y misterioso, se hallaban muy lejos de creer que pronto les llegaría el turno también a ellas. Susana y yo, las menores, no éramos suficientemente perspicaces para adivinar el motivo de esos largos cuchicheos. Una tarde las oí hablando de pechos.
Traduction temporaire :
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours un peu admirée et crainte à la fois. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, elle avait le droit de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient des familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets sur elle et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles étaient loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt, à elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après-midi je les ai entendues parler de seins.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours un peu admirée et crainte à la fois. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, elle avait le droit de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient des familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets sur elle et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles étaient loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt, à elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après-midi je les ai entendues parler de seins.
7 commentaires:
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. J'ai toujours éprouvé un peu d'admiration et un peu de peur à son égard. J'avais six ans. De temps en temps ils lui permettaient de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand ils avaient confiance en les visiteurs. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Des secrets avaient été découverts et, en les commentant d'un ton réjouit et mystérieux, elles allaient jusqu'à penser que leur tour viendrait vite pour elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après midi, je les ai entendues parlé de poitrine.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. J'ai toujours éprouvé un peu d'admiration et un peu de peur à son égard [pas génial… Voyez si vous avez autre chose en stock]. J'avais [CS] six ans. De temps en temps [vous ne commencez pas par le sujet, il faut une……………] ils lui permettaient de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand ils avaient confiance en les visiteurs [vous changez légèrement le sens ; revenez un peu plus près de la V.O. Le littéral à 100% ne marchera pas, c'est vrai… mais voyons s'il y a une voie moyenne]. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Des secrets avaient été découverts [CS] et, en les commentant d'un ton réjouit [grammaire] et mystérieux, elles allaient jusqu'à penser [CS] que leur tour viendrait vite [« bientôt » ?] pour elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après midi [tiret], je les ai entendues parlé [grammaire] de poitrine.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours à la fois admirée et crainte. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, il lui était permis de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles se trouvaient loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt pour elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après midi - je les ai entendues parler de poitrine.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours à la fois [et le « un poco » ?] admirée et crainte. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, il lui était permis [pas très naturel] de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient [vous changez, mais OK ; dans ce cas, ajoutez : « des »] familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets [comme ça, vous laissez filer l'idée contenue dans le « le » de la V.O.] et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles se trouvaient [pas adapté en français] loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt pour [« à » ?] elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après midi - [mais non, tiret entre après et midi ;-)] je les ai entendues parler de poitrine [« seins »].
Je trouve que vous travaillez bien et sérieusement sur Tradabordo ; je suis contente de vous. Soyez aussi impliquées en cours et ce sera parfait.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours un peu admirée et crainte à la fois. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, elle avait le droit de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient des familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets sur elle et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles étaient loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt à elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après-midi je les ai entendues parler de seins.
Trois fenêtres
La troisième fenêtre était celle d'Irene. Je l'ai toujours un peu admirée et crainte à la fois. Elle avait six ans de plus que moi. De temps en temps, elle avait le droit de s'asseoir à table, dans la grande salle à manger, quand les visiteurs étaient des familiers. Mes grandes sœurs parlaient d'elle à voix basse. Elles avaient découvert des secrets sur elle et, en les commentant d'un ton réjoui et mystérieux, elles étaient loin d'imaginer que leur tour viendrait bientôt, à elles aussi. Susana et moi, les plus jeunes, n'étions pas suffisamment perspicaces pour deviner la raison de ces longues messes basses. Un après-midi je les ai entendues parler de seins.
J'ai ajouté une petite virgule et OK.
Sarah ?
Je valide!
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