Mi padre al levantarla hasta la montura, sólo necesitaba juntar las manos para que ella apoyara un pie. La madre subía y, de inmediato, ya lista, se quedaba atenta esperando. Todos sus gestos, aunque fueran nuevos, vivían en seguida un paisaje habitual. Mi padre hacía avanzar su tordillo, y al infligirle con su bota pequeños golpes en las patas, el caballo estiraba las delanteras y las posteriores en direcciones opuestas, hasta que la montura descendía a un nivel en que no era necesario emplear los estribos.
Traduction temporaire :
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement besoin de joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive et patientait. Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel. Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement besoin de joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive et patientait. Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel. Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
14 commentaires:
Mon père, pour l’aider à monter sur le cheval, devait seulement joindre les mains pour qu’elle prenne appui avec son pied. La mère montait et, tout de suite, déjà prête, restait là à attendre, attentive.
Tous ses gestes, même s’ils étaient nouveaux, avaient déjà l’air d’être familiers.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris, et en lui infligeant des petits coups dans les pattes avec sa botte, le cheval étirait celles de devant et celles de derrière dans des directions opposées, jusqu’au point où la monture était assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
Mon père, pour l’aider à monter sur le cheval, devait seulement joindre les mains pour qu’elle prenne appui avec son pied. La mère montait et, tout de suite, déjà prête, restait là à attendre, attentive.
Tous ses gestes, même s’ils étaient nouveaux, avaient déjà l’air d’être familiers.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris, et en lui infligeant des petits coups dans les pattes avec sa botte, le cheval étirait celles de devant et celles de derrière dans des directions opposées, jusqu’au point où la monture était assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
Mon père [placé après ?], pour [pas ce que dit le texte] l’aider à monter sur le [possessif ? J'hésite…] cheval, devait seulement joindre les mains pour qu’elle [« y » ?] prenne appui avec son pied. La mère montait [vous l'avez dans la phrase d'avant] et, tout de suite, déjà prête, restait là à attendre, attentive [carrément pas clair].
Tous ses gestes [placé après ? J'hésite], même s’ils étaient nouveaux, avaient déjà l’air d’être familiers [pas ce que dit la V.O.].
Mon père faisait avancer son cheval tacheté [« moucheté » ? Vérifie ce qui est le plus utilisé] de gris, et en lui infligeant [bof] des petits coups dans les pattes [au fait : pour le cheval, on dit jambes] avec sa botte, le cheval étirait celles de devant [ça a un nom, non ?] et celles de derrière [idem ? Vérifiez] dans des directions opposées, jusqu’au point où [mal dit] la monture était assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement dû joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. La mère montait et, d'un seul coup, déjà prête, restait attentive en patientant.
Même s’ils étaient nouveaux,tous ses gestes prenaient tout de suite vie dans ce paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris, et en lui assenant des petits coups dans les jambes avec sa botte, le cheval étirait les membres antérieurs ainsi que les membres postérieurs dans des directions opposées, au point où la monture était assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement dû [temps ; attention, l'imparfait se traduit toujours par de l'imparfait… sauf cas rares] joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. La mère montait et, d'un seul coup, déjà prête, restait attentive en patientant [cette phrase manque beaucoup de naturel… Au besoin, dégagez-vous un peu de la V.O.].
Même s’ils étaient nouveaux,[espace]tous ses gestes prenaient tout de suite vie dans ce [non] paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris, et en lui assenant [est-ce qu'il ne faut pas passer par « quand il… » ?] des petits coups dans [« sur » ? J'hésite…] les jambes avec sa botte, le cheval [« l'animal », pour ne pas répéter ?] étirait [bizarre] les [possessif ?] membres antérieurs ainsi que les membres [nécessaire de répéter ?] postérieurs dans des directions opposées, au point où [très mal dit] la monture était assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
En la portant sur son cheval, mon père devait joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. Déjà en place sur la selle, la mère restait là à attendre.
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient tout de suite vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris, et, quand il lui assenait de petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal étendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce que la monture soit assez basse pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
En la portant sur son cheval, mon père devait joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. Déjà en place sur la selle, la mère restait là à attendre [vous devriez rester plus littérale , de toute façon, là, ça ne va pas…].
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient tout de suite [un moyen d'éviter « tout » ?] vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et, quand il lui assenait de [« des »] petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal étendait [« tendre » ?] ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce que la monture [« qu'il » ?] soit assez basse [le cas échéant, « bas »] pour qu’il ne soit plus nécessaire d’utiliser les étriers.
En la portant sur son cheval, mon père devait joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied. La mère montait et, prête en un instant, restait attentive en patientant.
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et, quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
En la portant sur son cheval, mon père devait joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied.
La madre subía y, de inmediato, ya lista, se quedaba atenta esperando.
La mère montait et, prête en un instant [« et, immédiatement, fin prête, elle »], restait [j'hésite sur le verbe] attentive en patientant [un vrai gérondif ?].
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et, quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
En la portant sur son cheval, mon père devait joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied.
La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive à attendre [un vrai gérondif ? Je ne comprends pas ce que vous voulez dire].
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et, quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
En la portant sur son cheval, mon père devait [pas du tout ce que dit le texte ; c'est même le contraire] joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied.
La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive à attendre [mettez un simple indicatif].
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement besoin de joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied.
La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive et patientait.
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessairespour monter.
En la portant sur son cheval, mon père avait seulement besoin de joindre les mains pour qu’elle y prenne appui avec son pied.
La mère montait et, immédiatement, fin prête, elle demeurait attentive et patientait.
Même s’ils étaient nouveaux, tous ses gestes prenaient immédiatement vie dans un paysage habituel.
Mon père faisait avancer son cheval tacheté de gris et quand il lui assenait des petits coups dans les jambes avec sa botte, l'animal tendait ses membres antérieurs et postérieurs dans des directions opposées, jusqu'à ce qu'il soit assez bas pour que les étriers ne soient plus nécessaires pour monter.
OK.
Sarah ?
OK
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