jeudi 30 juin 2016

Projet Justine / Marion – phrases 251-256

Verónica empezó a llorar, quiso volver a tocarlo, pero su hermano retrocedió y se fundió en la pared detrás de los rosales. Ella se arrodilló sobre el pasto y se golpeó la cabeza para despertarse, se tiró del pelo, intentó gritar otra vez y, por fin, despertó.
Mariela seguía durmiendo en la cama de enfrente, ahora totalmente tapada por la sábana. El vidrio de la ventana estaba cubierto por las cortinas. Verónica intentó volver a dormirse. Sentía mucha más tristeza que miedo y tenía los pies muy fríos, como si hubiera caminado toda la noche por sobre una pista de hielo.

***

Traduction temporaire :

Verónica éclata en sanglots, chercha de nouveau à le toucher, mais son frère recula et se fondit dans le mur, derrière les rosiers. Elle, elle s'agenouilla dans l’herbe et se frappa la tête pour se réveiller, se tira les cheveux, cria de plus belle, et s’éveilla enfin.

Dans le lit d’en face, Mariela dormait encore, cette fois entièrement sous son drap. Le carreau de la fenêtre était couvert par les rideaux. Verónica tenta de se rendormir. Elle ressentait bien plus de tristesse que de peur et avait les pieds glacés, comme si elle avait marché toute la nuit sur une patinoire.

4 commentaires:

Justine a dit…

Verónica éclata en sanglots, chercha à le toucher, mais son frère recula et se fondit dans le mur, derrière les rosiers. Elle s’agenouilla sur l’herbe et se frappa la tête pour se réveiller, elle se tira les cheveux, réessaya de crier, et s’éveilla enfin.
Dans le lit d’en face, Mariela dormait encore, entièrement sous son drap, désormais. Le carreau de la fenêtre était recouvert par les rideaux. Verónica tenta de se rendormir. Elle ressentait davantage de tristesse que de peur et avait les pieds très froids, comme si elle avait marché toute la nuit sur une patinoire.

Tradabordo a dit…

Verónica éclata en sanglots, chercha à le toucher [et le « volver » ?], mais son frère recula et se fondit dans le mur, derrière les rosiers. Elle [« , elle » ?] s’agenouilla sur [« dans » ? Comme tu veux…] l’herbe et se frappa la tête pour se réveiller, elle [nécessaore ?] se tira les cheveux, réessaya [ou avec « de plus belle » ? Vois ce qui est mieux…] de crier, et s’éveilla enfin.
Dans le lit d’en face, Mariela dormait encore, entièrement sous son drap, désormais [naturel ?]. Le carreau de la fenêtre était recouvert [mal dit ?] par les rideaux. Verónica tenta de se rendormir. Elle ressentait [et le « mucha »] davantage de tristesse que de peur et avait les pieds très froids [ou « glacés » ?], comme si elle avait marché toute la nuit sur une patinoire.

Justine a dit…

Verónica éclata en sanglots, chercha de nouveau à le toucher, mais son frère recula et se fondit dans le mur, derrière les rosiers. Elle, elle s'agenouilla dans l’herbe et se frappa la tête pour se réveiller, se tira les cheveux, cria de plus belle, et s’éveilla enfin.
Dans le lit d’en face, Mariela dormait encore, entièrement sous son drap, cette fois. Le carreau de la fenêtre était couvert par les rideaux. Verónica tenta de se rendormir. Elle ressentait bien plus de tristesse que de peur et avait les pieds glacés, comme si elle avait marché toute la nuit sur une patinoire.

Tradabordo a dit…

Verónica éclata en sanglots, chercha de nouveau à le toucher, mais son frère recula et se fondit dans le mur, derrière les rosiers. Elle, elle s'agenouilla dans l’herbe et se frappa la tête pour se réveiller, se tira les cheveux, cria de plus belle, et s’éveilla enfin.
Dans le lit d’en face, Mariela dormait encore, cette fois entièrement sous son drap. Le carreau de la fenêtre était couvert par les rideaux. Verónica tenta de se rendormir. Elle ressentait bien plus de tristesse que de peur et avait les pieds glacés, comme si elle avait marché toute la nuit sur une patinoire.

J'ai fait un petit changement et OK.