Entre al templo que quedaba en un segundo piso de una casona vieja, había un altar y una campana que debías tocar para la atención. Espere unos minutos y apareció un sujeto vestido con un buzo y chancletas negras, parecía despertar de un largo sueño o meditación, ya que bostezaba y estiraba las extremidades. Como no decía palabra alguna yo di el primer paso y le dije:
-"Maestro", quiero saber mi destino. El rostro adormitado del habitante del templo se despejo de golpe y respondió: ¿Y porque vienes aquí para saber eso? No supe que responder solo atine a decir que a un amigo mío le habían hecho la lectura, en este mismo lugar con unos palitos, luego recorrí con la mirada el altar hasta encontrarlos y poderlos señalar.
-¿A esos palos te refieres?
-Si maestro, los mismos.
-Pero aun no entiendo tu necesidad por saber sobre el destino.
-"Maestro", quiero saber mi destino. El rostro adormitado del habitante del templo se despejo de golpe y respondió: ¿Y porque vienes aquí para saber eso? No supe que responder solo atine a decir que a un amigo mío le habían hecho la lectura, en este mismo lugar con unos palitos, luego recorrí con la mirada el altar hasta encontrarlos y poderlos señalar.
-¿A esos palos te refieres?
-Si maestro, los mismos.
-Pero aun no entiendo tu necesidad por saber sobre el destino.
Traduction temporaire :
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même, avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même, avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
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Je pénétrai dans le temple situé au deuxième étage d'une vieille demeure, il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; en effet, il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait fait la lecture à un de mes amis ici même avec des morceaux de bois, puis je parcourus l'autel du regard jusqu'à les retrouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple [virgule ?] situé au deuxième étage d'une vieille demeure, [point ?] il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; en effet, [nécessaire ? J'hésite…] il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait fait [tu en as un au début de ce fragment] la lecture [clair ici ?] à un de mes amis ici même avec des morceaux de bois [je crois que ça porte un nom ; fais deux ou trois recherches], puis je parcourus l'autel du regard [virgule] jusqu'à les re[?]trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même [virgule ?] avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même, avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
Je pénétrai dans le temple, situé au deuxième étage d'une vieille demeure. Il y avait un autel et une cloche qu'on devait faire tinter pour signaler sa présence. J'attendis quelques minutes et un individu en survêtement et sandales noires apparut, il avait l'air de sortir d'un long sommeil ou d'une séance de méditation ; il bâillait et s'étirait. Comme il ne disait rien, je fis le premier pas et lui lançai :
— « Maître », je veux connaître mon destin.
Le visage endormi de l'habitant du temple s'éclaira soudain et il demanda :
— Et pourquoi viens-tu ici pour savoir ça ?
Ne sachant que répondre, je lui expliquai juste qu'on avait lu son avenir à un de mes amis ici même, avec des baguettes, puis je parcourus l'autel du regard, jusqu'à les trouver et pouvoir les lui montrer.
— Tu veux parler de ces morceaux de bois, là ?
— Oui, maître, exactement.
— Mais je ne comprends toujours pas ce besoin que tu as de connaître ton destin.
OK.
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