Lo que siguió fue otra escena que no debió durar más de unos segundos, pero que recuerdo ralentizada, como si ese tiempo se extendiera, cuadruplicando su espacio en cada una de nuestras voces y diciendo cada vez más alto: «No tiene mamá, es huérfana, ¡huérfana, huérfana!». En medio de ese coro, puedo ver a Rutka levantar la cabeza con los ojos cargados de lágrimas, aunque sin derramar ninguna, recoger su mochila y dirigirse tranquilamente hacia la salida.
El lunes, cuando regresamos a clases, toda la escuela sabía ya que Rutka era huérfana y que su amistad con Doris había terminado.
El lunes, cuando regresamos a clases, toda la escuela sabía ya que Rutka era huérfana y que su amistad con Doris había terminado.
Traduction temporaire :
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix de plus en plus fortes : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix de plus en plus fortes : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
7 commentaires:
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chaque fois que nos voix criaient de plus en plus fort : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux remplis de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école savait déjà que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chaque fois que nos voix criaient de plus en plus fort [à reprendre à partir de « à chaque fois… » / lourd… Je me demande si tu ne peux pas synthétiser un peu tout ça] : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux remplis [« pleins » ?] de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac [« à dos » / « cartable » ?] et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école savait [ou avec « être au courant » ?] déjà que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix criant de plus en plus fort : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix criant de plus en plus fort [ou simplement : « de plus en plus fortes » ?] : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix de plus en plus fortes : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix de plus en plus fortes : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
OK.
Audrey ?
Il s’ensuivit une autre scène qui ne dut pas durer plus de quelques secondes, mais que je me rappelle au ralenti, comme si ce temps-là s’allongeait, quadruplant l’espace à chacune de nos voix de plus en plus fortes : « Elle n’a pas de mère, elle est orpheline, orpheline, orpheline ! » Au milieu de ce chœur, j’arrive à voir Rutka lever la tête, les yeux pleins de larmes, bien qu’aucune ne coule, ramasser son sac à dos et se diriger tranquillement vers la sortie.
Le lundi, quand on retourna en classe, toute l’école était déjà au courant que Rutka était orpheline et que son amitié avec Doris était terminée.
Ok
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