mardi 2 mai 2017

Projet Chloé T - titre + phrases 1-3

FRANCISCO JOSÉ PLANA ESTRUCH

HUEYTECUILHUITL

La joven asciende por la garganta del zigurat. Al frente, distingue la luz que llega del exterior; detrás, siente las miradas de los sacerdotes clavadas en su espalda. La escalera sube con pausa, al ritmo de las ruedas dentadas que giran en las paredes, respirando humo, emanando calor como todo lo que vive y se mueve.

Traduction temporaire :

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier progresse tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

10 commentaires:

Mme B. a dit…

Francisco José Plana Estruch
Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière qui arrive de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier monde lentement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et émettant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Tradabordo a dit…

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière qui arrive [« provenant » ? Vois ce qui est mieux… ou même rien ?] de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur [« à » ? J'hésite…] son dos. L’escalier monde lentement [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…………], au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et émettant [j'hésite] de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Mme B. a dit…


Francisco José Plana Estruch
Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur [« à » ? J'hésite… /CNRTL : les deux prépositions sont possibles. Une recherche dans google montre qu’il y a plus d’occurrences avec « sur » qu’avec « à »] son dos. L’escalier monde tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et émettant [j'hésite / RAE : emanar intr = proceder ; emanar tr = emitir] de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Tradabordo a dit…

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier monde [?] tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et émettant [j'hésite / RAE : emanar intr = proceder ; emanar tr = emitir // « produire » ?] de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Mme B. a dit…

Francisco José Plana Estruch
Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier monte [« avance » ? pour éviter la répétition] tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Mme B. a dit…

Je crois que tu m'as oubliée... je recolle ma proposition :

Francisco José Plana Estruch
Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier monte [« avance » ? pour éviter la répétition] tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Tradabordo a dit…

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier monte [« avance » ? pour éviter la répétition // « progresse » ?] tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

Mme B. a dit…

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier progresse tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

CRIIA-MEDIA a dit…

Francisco José Plana Estruch

Hueytecuiluitl

La jeune fille monte en empruntant la gorge de la ziggourat. En face, elle distingue la lumière de l’extérieur ; derrière, elle sent les regards des prêtres rivés sur son dos. L’escalier progresse tranquillement, au rythme des roues dentées qui tournent sur les murs, respirant la fumée et produisant de la chaleur, comme tout ce qui vit et bouge.

OK.

Tradabordo a dit…

Le commentaire est bien de moi.