lundi 2 juin 2014

Projet Élise 3 – phrases 103

La mujer le había destrozado las manos; la presión era una llamarada en su memoria, algo intangible y secreto. No obstante, ahí no terminaba todo. Trató de recordar y de a poco, como abriéndose camino en el matorral tupido, como un cuerpo que intenta ganar terreno apretujado en medio de la multitud, asomó la punta de una vigilia breve, fugaz entre dos sueños, o peor, entre dos muertes. Gritó, y el grito fue algo ajeno y lo precipitó al vacío.

Traduction temporaire :
La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler puis lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé au milieu de la foule, un bref éclair de conscience surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, mais son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

16 commentaires:

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, tout ça ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et, petit à petit, comme ouvrant son chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil apparut, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et le cri fut quelque chose d'étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose [ou « quelque chose » ? Regarde et tranche] intangible et secrète. Cependant, tout ça [« cela » ?] ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et, petit à petit [CS ?], comme ouvrant son chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil apparut, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et le cri fut quelque chose d'étranger et le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme ouvrant son chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil apparut, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et le cri fut quelque chose d'étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme ouvrant son chemin [ou par « s'ouvrant un… » ?] dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil apparut [« surgit » ?], fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et le [possessif ?] cri fut quelque chose [tu as « chose » au-dessus] d'étranger et le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, [ponctuation ?] un bref soupçon d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule ; un bref soupçon d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule ; [avec un point-virgule… on ne comprend pas la logique de la phrase ; enchaînement avec le début ?] un bref soupçon d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

j'avais mis une virgule au début, mais du coup qu'est-ce qui n'allait pas dans la ponctuation ?

Tradabordo a dit…

Je ne sais plus trop… Pas le temps de reprendre les deux versions.
Reprends en faisant en sorte que l'enchaînement des idées soit clair – toujours un pb dans ces phrases à rallonge.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans la foule, un bref soupçon d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé dans [ou « au milieu de » ? Comme tu veux] la foule, un bref soupçon d'éveil [peu naturel] surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé au milieu de la foule, un bref éclair d'éveil surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler et lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé au milieu de la foule, un bref éclair d'éveil [« de conscience » ou on change le sens ?] surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, et son cri lui sembla étranger et [l'enchaînement des deux « et » n'est pas génial] le précipita dans le vide.

Unknown a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler puis lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé au milieu de la foule, un bref éclair de conscience surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, mais son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

Ah oui avec "conscience" c'est mieux, à mon avis ça ne change pas le sens.

Tradabordo a dit…

La femme lui avait brisé les mains ; la pression était une brûlure dans sa mémoire, une chose intangible et secrète. Cependant, cela ne s'arrêtait pas là. Il essaya de se rappeler puis lentement, comme s'ouvrant un chemin dans une végétation dense, comme un corps essayant de gagner du terrain, écrasé au milieu de la foule, un bref éclair de conscience surgit, fugace, entre deux rêves, ou pire, entre deux morts. Il cria, mais son cri lui sembla étranger et le précipita dans le vide.

OK.