lundi 2 juin 2014

Projet Morgane 11 – phrase 33

Ahora, entre las paredes de esta casa sentenciada, con la luz crepuscular colándose por las rendijas de las persianas herméticas, Dalila recobra el rostro de su abuelo con la reprobación hundida entre las cejas, y siente el alma erizada de calcáreos recuerdos: los abusos el Dictador descendiendo como estalactitas hasta unirse, en el vértice de la ignominia, al sometimiento aberrante.

Traduction temporaire :
Dans cette maison condamnée où la lumière crépusculaire se faufile entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme hérissée des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites, jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

10 commentaires:

Unknown a dit…

À présent, entre les murs de cette maison condamnée, avec la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent le cœur piquant des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites jusqu'à s'unir, au sommet de l'ignominie, à la soumission aberrante.

Tradabordo a dit…

À présent, [on supprime la virgule ?] entre les murs de cette maison condamnée, avec [nécessaire ? J'hésite…] la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent le cœur [pourquoi tu changes ?] piquant des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites jusqu'à s'unir, au sommet de l'ignominie [à la fin ? Essaie], à la soumission aberrante.

Unknown a dit…

À présent, entre les murs de cette maison condamnée, la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme piquante des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Tradabordo a dit…

À présent [nécessaire ? ou alors placé après « Dalila » ? Regarde et dis-moi], entre les murs de cette maison condamnée, la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme piquante des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Unknown a dit…

Entre les murs de cette maison condamnée, la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme piquante des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Tradabordo a dit…

Entre les murs de cette maison condamnée, la lumière crépusculaire se [ou « s'y » ? Je te laisse regarder…] faufilant entre [tu as déjà « entre » au début] les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme piquante [bof] des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites [virgule] jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Unknown a dit…

Au sein de cette maison condamnée, la lumière crépusculaire se faufilant entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme hérissée des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites, jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Tradabordo a dit…

Au sein de [« Dans » ?] cette maison condamnée, [« où »] la lumière crépusculaire se faufilant [imparfait, du coup ?] entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme hérissée des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites, jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Unknown a dit…

Dans cette maison condamnée où la lumière crépusculaire se faufile entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme hérissée des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites, jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

Tradabordo a dit…

Dans cette maison condamnée où la lumière crépusculaire se faufile entre les fentes des persiennes hermétiques, Dalila retrouve à présent le visage de son grand-père, la réprobation plongée dans ses sourcils, et elle sent l'âme hérissée des souvenirs calcaires : les abus du Dictateur tombant comme des stalactites, jusqu'à s'unir à la soumission aberrante, au sommet de l'ignominie.

OK.