Agarro a Fran de sus bracitos y lo alzo, lo aprieto fuerte contra mi pecho, le beso sus lágrimas, le acaricio el pelo transpirado, me siento en su silla, lo acuno un rato hasta que se calma, Marianita se acerca y me abraza fuerte, ella acaricia mi cabeza con toda su ternura.
—Ya pasó, mamá —dice—. Ya pasó, ya está.
Traduction temporaire :
J'attrape Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre ma poitrine, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés de sueur, je m'assieds sur sa chaise et je le berce, jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et m'enlace, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est fini, maman, dit-elle. C'est bon, c'est fini.
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J'arrache Fran de ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
J'arrache Fran de ses petits bras [CS] et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
J'arrache Fran à ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
J'arrache [FS] Fran à ses petits bras [CS] et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
Je prends Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
Je prends [plus fort] Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre moi [pourquoi pas plus près de la V.O. ?], j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés [pas exactement cela], je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras [débrouille-toi pour ne pas répéter], elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé [naturel ?], maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon [idem ?].
J'attrape Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre ma poitrine, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés de sueur, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et m'enlace, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est fini, maman, dit-elle. C'est bon, c'est fini.
J'arrache [non, tu reviens à ton CS ; j'attrape] Fran à ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre moi, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et me prend dans ses bras, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est passé, maman, dit-elle. C'est passé, c'est bon.
J'attrape Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre ma poitrine, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés de sueur, je m'assieds sur sa chaise et je le berce jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et m'enlace, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est fini, maman, dit-elle. C'est bon, c'est fini.
J'attrape Fran par ses petits bras et je le soulève, je le serre fort contre ma poitrine, j'embrasse ses larmes, je caresse ses cheveux mouillés de sueur, je m'assieds sur sa chaise et je le berce, jusqu'à ce qu'il se calme. Marianita s'approche et m'enlace, elle caresse ma tête de toute sa tendresse.
— C'est fini, maman, dit-elle. C'est bon, c'est fini.
OK.
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