Cuatro: el nombre de Duilio. Hasta el momento, la señora Ema no había visto ningún ser humano. El zoológico estaba desierto y las barrancas lo protegían del ruido de la ciudad. En el silencio se oían los loros y las cotorras, el croar de algún sapo y, un poco más lejos, los gruñidos de un felino inmenso, tal vez un león, o un yaguareté, o una pantera. Justo antes de que la quebrada se abriera para dar lugar a una gran explanada con un kiosco bar, sombrillas y sillas de plástico, la señora Ema encontró a uno de los cuidadores. Llevaba un balde de maíz molido en la mano, botas de goma, pantalones Ombú y una musculosa blanca con el logo de una pinturería. La señora Ema le preguntó qué había pasado con los tigres y el hombre le dijo que no podía darle esa información. Se sacó un cigarrillo de detrás de la oreja y lo llevó a su boca.
Traduction temporaire :
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade au centre de laquelle se trouvait un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade au centre de laquelle se trouvait un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
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Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait vu aucun être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les grognements d’un immense félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade avec un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs. Il avait un seau de maïs moulu à la main et portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et la porta à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait vu aucun [ou par « pas le moindre » ?] être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les grognements [« feulements » ?] d’un immense [« énorme » ?] félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade avec [bof] un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs. Il avait [nécessaire ?] un seau de maïs moulu à la main et portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et la porta [tu l'as juste avant] à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs moulu à la main. Il arborait [bof, non ?] des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et la porta à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade [il manque quelque chose ici] un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs moulu à la main. Il arborait [bof, non ? OUI, BOF ;-)] des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et la porta à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade [il manque quelque chose ici] un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs moulu à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade [il manque quelque chose ici // TU N'AS PAS TENU COMPTE DE ÇA ?] un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs moulu [« concassé » ?] à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade dotée d'un kiosque bar, de parasols et de chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade dotée [pas super ici ; désolée ;-)] d'un kiosque bar, de parasols et de chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade au centre de laquelle se trouvait [pfff, je sèche...] un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
Quatre : le nom de Duilio. Jusqu’à présent, madame Ema n’avait pas vu le moindre être humain. Le zoo était désert et les fosses le protégeaient du bruit de la ville. Dans le silence, on entendait les perroquets et les perruches, le croassement d’un crapaud et, un peu plus loin, les feulements d’un énorme félin – un lion, peut-être, ou un jaguar, ou bien une panthère. Juste avant que le ravin ne s’élargisse pour donner sur une grande esplanade au centre de laquelle se trouvait un kiosque bar, des parasols et des chaises en plastique, madame Ema tomba sur l’un des soigneurs, un seau de maïs concassé à la main. Il portait des bottes en caoutchouc, un pantalon Ombú ainsi qu’un débardeur blanc estampillé du logo d’un magasin de peinture. Madame Ema lui demanda ce que les tigres étaient devenus, à quoi l’homme répondit qu’il ne pouvait lui donner cette information. Il sortit une cigarette de derrière son oreille et l'amena à sa bouche.
OK.
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