¿Tiene fuego?, le preguntó a la señora Ema. La señora Ema no llevaba consigo ni fósforos ni encendedores, así que el hombre volvió a guardar su cigarrillo y se alejó. La señora Ema lo miró tirar maíz molido a las jaulas de los faisanes y las perdices y pensó que los ojos del hombre transmitían lástima y desazón frente a las aves encerradas, frente a todos aquellos animales aburridos y condenados que para seguir viviendo dependían de su esfuerzo cotidiano y de sus puñados de maíz. En ese momento le hubiera gustado tener una caja de fósforos en el bolsillo.
Traduction temporaire :
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine de voir des oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine de voir des oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
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Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa jeter du maïs concassé dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine ressenties face aux oiseaux enfermés, face à tous ces animaux condamnés, qui s’ennuyaient, et dont le sort dépendait de son effort quotidien et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa jeter [par « tandis qu'il »] du maïs concassé [pas besoin de répéter] dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine ressenties face aux oiseaux enfermés [ce bout manque de fluidité et de naturel], face à tous ces animaux condamnés, qui s’ennuyaient, et dont le sort dépendait de son effort quotidien [au pluriel] et de ses poignées de maïs.
Reprends ce début… pour y mettre de la fluidité.
À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine que lui inspiraient les oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine que lui inspiraient les [« ces » ; ou « de voir des » ?] oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine de voir des oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
Vous avez du feu ?, demanda-t-il à madame Ema. Comme elle n’avait ni allumettes ni briquet sur elle, l’homme rangea sa cigarette et s’éloigna. Madame Ema l’observa tandis qu'il jetait du maïs dans les cages des faisans et des perdrix ; elle se dit que ses yeux traduisaient la pitié et la peine de voir des oiseaux enfermés, tous ces animaux qui s’ennuyaient à mourir, et dont le sort dépendait de ses efforts quotidiens et de ses poignées de maïs. À ce moment-là, elle aurait aimé avoir une boîte d’allumettes dans sa poche.
OK.
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