lundi 1 septembre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 8-15

La señora Ema tiene un talante levemente poético y es usual que sus pensamientos se tiñan de metáforas y comparaciones. Pero pronto lo olvida y encarga a Marilén que termine rápido con esas copas, porque también hay que limpiar el balcón.
La señora Ema vive frente al parque, en un piso muy alto. Es viuda y madre de dos hijos a los que sólo ve los fines de semana. Tiene un nieto, pero no se lleva para nada bien con él. La última vez que vino de visita podría jurar que le robó dinero. Eran cincuenta dólares escondidos en una cartuchera vieja, en el primer cajón del escritorio. Ahora ya no están más.

Traduction temporaire :

Madame Ema a l’âme légèrement poétique et il arrive souvent que ses pensées se teignent de métaphores et de comparaisons. Mais rapidement, elle l’oublie et charge Marilén d’en finir au plus vite avec tous ces verres, parce qu’il faut aussi laver le balcon.
Madame Ema habite en face du parc, dans un appartement en hauteur. Elle est veuve et mère de deux enfants, qu’elle voit seulement le week-end. Elle a un petit-fils, mais ne s’entend pas du tout avec lui. La dernière fois qu’il lui a rendu visite, elle pourrait jurer qu’il lui a volé de l’argent. Il y avait cinquante dollars cachés dans une vieille cartouchière, au fond du premier tiroir du bureau. Maintenant, ils n’y sont plus.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Madame Ema a une légère propension à la poésie et il arrive souvent que ses pensées se teignent de métaphores et de comparaisons. Mais rapidement, elle l’oublie et charge Marilén d’en finir au plus vite avec ces verres, parce qu’il faut aussi laver le balcon.
Madame Ema habite en face du parc, dans un appartement très en hauteur. Elle est veuve et mère de deux enfants, qu’elle ne voit que le week-end. Elle a un petit-fils, mais ne s’entend pas du tout avec lui. La dernière fois qu’il est venu la voir, elle pourrait jurer qu’il lui a volé de l’argent. Il y avait cinquante dollars cachés dans une vieille cartouchière, dans le premier tiroir du bureau. Maintenant ils n’y sont plus.

Tradabordo a dit…

Madame Ema a une légère propension à la poésie [j'hésite ; naturel ?] et il arrive souvent que ses pensées se teignent de métaphores et de comparaisons. Mais rapidement, elle l’oublie et charge Marilén d’en finir au plus vite avec [cheville : « tous » ? Je ne sais pas… Tu sais que les hispanophones sont très portés sur les démonstratif et nous, moins…] ces verres, parce qu’il faut aussi laver le balcon.
Madame Ema habite en face du parc, dans un appartement très [naturel ?] en hauteur. Elle est veuve et mère de deux enfants, qu’elle ne voit que [les deux « que » : bof] le week-end. Elle a un petit-fils, mais ne s’entend pas du tout avec lui. La dernière fois qu’il est venu la voir [un moyen de ne pas répéter « voir » ?], elle pourrait jurer qu’il lui a volé de l’argent. Il y avait cinquante dollars cachés dans une vieille cartouchière, dans [un moyen de ne pas répéter « dans »] le premier tiroir du bureau. Maintenant [virgule] ils n’y sont plus.

Emilie a dit…

Madame Ema a l’âme légèrement poétique et il arrive souvent que ses pensées se teignent de métaphores et de comparaisons. Mais rapidement, elle l’oublie et charge Marilén d’en finir au plus vite avec tous ces verres, parce qu’il faut aussi laver le balcon.
Madame Ema habite en face du parc, dans un appartement en hauteur. Elle est veuve et mère de deux enfants, qu’elle voit seulement le week-end. Elle a un petit-fils, mais ne s’entend pas du tout avec lui. La dernière fois qu’il lui a rendu visite, elle pourrait jurer qu’il lui a volé de l’argent. Il y avait cinquante dollars cachés dans une vieille cartouchière, au fond du premier tiroir du bureau. Maintenant, ils n’y sont plus.

Tradabordo a dit…

Madame Ema a l’âme légèrement poétique et il arrive souvent que ses pensées se teignent de métaphores et de comparaisons. Mais rapidement, elle l’oublie et charge Marilén d’en finir au plus vite avec tous ces verres, parce qu’il faut aussi laver le balcon.
Madame Ema habite en face du parc, dans un appartement en hauteur. Elle est veuve et mère de deux enfants, qu’elle voit seulement le week-end. Elle a un petit-fils, mais ne s’entend pas du tout avec lui. La dernière fois qu’il lui a rendu visite, elle pourrait jurer qu’il lui a volé de l’argent. Il y avait cinquante dollars cachés dans une vieille cartouchière, au fond du premier tiroir du bureau. Maintenant, ils n’y sont plus.

OK.