Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
Camila
La vendedora, una señora gorda y canosa que con una barba habría pasado por Papá Noel, me dijo que los pañuelos eran de la India. Yo lo sabía, pero ella insistió en explicarme que eran delicados, que a una mujer le bastaba llevarlos atados alrededor de la cabeza para embellecerse.
Traduction temporaire :
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait porté une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête pour être encore plus belle.
Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
Camila
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait porté une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête pour être encore plus belle.
5 commentaires:
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait eu une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête, pour être encore plus belle.
Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
« Camila »
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait eu une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête, pour être encore plus belle.
Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
Camila
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – [ce sont les tirets moyens ?] qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait eu [porté] une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête pour être encore plus belle.
Oui, pour les tirets
Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
Camila
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait porté une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête pour être encore plus belle.
Javier Enrique Arévalo Piedra (Pérou)
Camila
La vendeuse, une grosse dame aux cheveux grisonnants – qu’on aurait pu prendre pour le Père Noël, si elle avait porté une barbe – m’a appris que les foulards venaient d’Inde. Je le savais, mais elle a insisté, m’expliquant qu’ils étaient élégants, qu’il suffisait qu’une femme les noue autour de sa tête pour être encore plus belle.
OK.
Enregistrer un commentaire