samedi 6 septembre 2014

Projet Manon 3 – phrases 89-106

No me ha entendido, señor García —reinició—. Yo le pregunto por cosas buenas que haya hecho usted, no por regalos que haya recibido.
¿Regalos? —gritó furioso el llamado "Gabo" —. ¿Cuales regalos?
Sí, señor García, regalos. Eso que usted me menciona son regalos, no realizaciones suyas. ¿Comprende eso?
El llamado "Gabo" quedó estupefacto. ¿Cómo era eso de que Cien años de soledad no era una realización de él? ¿Qué diablos ocurría?
¿Cómo "regalos"? —gesticuló impaciente "la máxima gloria latinoamericana de las letras en el siglo XX" —¡Yo escribí Cien años de soledad!
Ahora el otro hombre sonrió.
¿Usted sabe dónde está?
¡Esto es El Juicio Final!, ¿cierto?
Llamémoslo así.
¿Entonces?
Entonces sabrá que aquí ya no usamos eufemismos como es usual en el Planeta Tierra, aquí llamamos a las cosas por su nombre: "Malos" a los malos, "buenos" a los buenos, "regalos" a los regalos.

Traduction temporaire :
— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous auriez faites, pas les cadeaux que vous auriez reçus.
— Les cadeaux ? brailla « Gabo », furieux. Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Les choses que vous mentionnez, ce sont des cadeaux, non des réalisations de votre fait. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment ça, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Que se passait-il, bon sang ?
— « Des cadeaux » ? vociféra impatiemment « la plus grande gloire latino-américaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude, moi !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?

— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

6 commentaires:

Unknown a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous avez pu faire, pas les cadeaux que vous avez pu recevoir.
— Les cadeaux ? brailla, furieux, « Gabo ». Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Ce que vous mentionnez sont des cadeaux, non vos réalisations. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Quel mauvais sort l'avait frappé ?
— Comment ça, « des cadeaux » ? vociféra, impatient, « la plus grande gloire latinoaméricaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme l'habitude le veut sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

Tradabordo a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous avez pu [nécessaire ?] faire, pas les cadeaux que vous avez pu [nécessaire ?] recevoir.
— Les cadeaux ? brailla, furieux [place-le après], « Gabo ». Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Ce [« Les choses » ?] que vous mentionnez [« ce » ?] sont des cadeaux, non vos réalisations [« de votre fait » ?]. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment [cheville « ça » ?], Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Quel mauvais sort l'avait frappé [pas vraiment ce qui est dit] ?
— Comment ça, [nécessaire ?] « des cadeaux » ? vociféra, impatient [adverbe ?], « la plus grande gloire latinoaméricaine [orthographe] des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme l'habitude le veut sur la planète Terre [la fin manque de naturel] ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais [ou dans le sens « méchants » ? J'hésite] » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

Unknown a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous auriez faites, pas les cadeaux que vous auriez reçus.
— Les cadeaux ? brailla« Gabo », furieux. Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Les choses que vous mentionnez, ce sont des cadeaux, non des réalisations de votre fait. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment ça, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Que se passait-il, bon sang ?
— « Des cadeaux » ? vociféra impatiemment « la plus grande gloire latino-américaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme d'usage sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais [ou dans le sens « méchants » ? J'hésite/ Je choisirais plutôt "mauvais" pour la "terminologie" de la religion, surtout qu'il parle des bonnes choses (pas des gens), mais je pense que tu as fait plus de catéchisme que moi donc j'attends ton avis final ;);)] » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

Tradabordo a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous auriez faites, pas les cadeaux que vous auriez reçus.
— Les cadeaux ? brailla « Gabo », furieux. Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Les choses que vous mentionnez, ce sont des cadeaux, non des réalisations de votre fait. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment ça, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Que se passait-il, bon sang ?
— « Des cadeaux » ? vociféra impatiemment « la plus grande gloire latino-américaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude, moi !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme d'usage [mal dit] sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais [ou dans le sens « méchants » ? J'hésite/ Je choisirais plutôt "mauvais" pour la "terminologie" de la religion, surtout qu'il parle des bonnes choses (pas des gens), mais je pense que tu as fait plus de catéchisme que moi donc j'attends ton avis final ;);) OK] » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

Unknown a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous auriez faites, pas les cadeaux que vous auriez reçus.
— Les cadeaux ? brailla « Gabo », furieux. Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Les choses que vous mentionnez, ce sont des cadeaux, non des réalisations de votre fait. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment ça, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Que se passait-il, bon sang ?
— « Des cadeaux » ? vociféra impatiemment « la plus grande gloire latino-américaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude, moi !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

Tradabordo a dit…

— Vous ne m'avez pas compris, Monsieur García, reprit-il. Moi, je vous demande les bonnes choses que vous auriez faites, pas les cadeaux que vous auriez reçus.
— Les cadeaux ? brailla « Gabo », furieux. Quels cadeaux ?
— Oui, Monsieur García, les cadeaux. Les choses que vous mentionnez, ce sont des cadeaux, non des réalisations de votre fait. Comprenez-vous ?
« Gabo » resta stupéfait. Comment ça, Cent ans de solitude n'était pas une réalisation émanant de lui ? Que se passait-il, bon sang ?
— « Des cadeaux » ? vociféra impatiemment « la plus grande gloire latino-américaine des lettres du vingtième siècle ». J'ai écrit Cent ans de solitude, moi !
Là, l'autre homme sourit.
— Savez-vous bien où vous vous trouvez ?
— C'est le Jugement Dernier, non ?
— Appelons-le comme cela.
— Et alors ?
— Et alors vous devez savoir qu'ici, nous n'utilisons pas d'euphémisme comme sur la planète Terre ; ici, nous appelons les choses par leur nom : « mauvais » pour les mauvais, « bons » pour les bons, « cadeaux » pour les cadeaux.

OK.