samedi 27 septembre 2014

Projet Margaux 9 – phrases 9-11

Son las cuatro de la tarde, los niños están por llegar y ya te sabes esta historia. Leal y protectora de tus cachorros, calculas cuánto más necesitas estirar el brazo para alcanzar el juego de cuchillos perfectamente ordenados en su madera. Lo miras a los ojos y él sabe, entiende en un instante, que eres de las perras que no ladra, pero muerde.

Traduction temporaire :

Il est seize heures, les enfants sont sur le point d'arriver et tu connais déjà l'histoire. Dévouée et protectrice envers tes petits, tu calcules le temps supplémentaire qui te sera nécessaire pour tendre le bras et atteindre le set de couteaux parfaitement rangés dans leur socle en bois. Tu le regardes droit dans les yeux et il sait, il le comprend en un instant, que tu fais partie des chiennes qui n'aboient pas, mais qui mordent.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il est seize heures, les enfants sont sur le point d'arriver et tu connais déjà cette histoire. Dévouée et protectrice envers tes petits, tu calcules le temps qui te sera nécessaire pour tendre le bras et atteindre le set de couteaux parfaitement rangés dans leur socle. Tu le regardes droit dans les yeux et il sait, il comprend en un instant que tu fais partie des chiennes qui n'aboient pas, mais qui mordent.

Tradabordo a dit…

Il est seize heures, les enfants sont sur le point d'arriver et tu connais déjà cette [j'hésite sur le démonstratif…] histoire. Dévouée et protectrice envers tes petits, tu calcules le temps qui te sera [et le « más » ?] nécessaire pour tendre le bras et atteindre le set de couteaux parfaitement rangés dans leur socle [il faut qd même préciser qu'il est en bois]. Tu le regardes droit dans les yeux et il sait, il [« le » ?] comprend en un instant [virgule] que tu fais partie des chiennes qui n'aboient pas, mais qui mordent.

Unknown a dit…

Il est seize heures, les enfants sont sur le point d'arriver et tu connais déjà l'histoire. Dévouée et protectrice envers tes petits, tu calcules le temps supplémentaire qui te sera nécessaire pour tendre le bras et atteindre le set de couteaux parfaitement rangés dans leur socle en bois. Tu le regardes droit dans les yeux et il sait, il le comprend en un instant, que tu fais partie des chiennes qui n'aboient pas, mais qui mordent.

Tradabordo a dit…

Il est seize heures, les enfants sont sur le point d'arriver et tu connais déjà l'histoire. Dévouée et protectrice envers tes petits, tu calcules le temps supplémentaire qui te sera nécessaire pour tendre le bras et atteindre le set de couteaux parfaitement rangés dans leur socle en bois. Tu le regardes droit dans les yeux et il sait, il le comprend en un instant, que tu fais partie des chiennes qui n'aboient pas, mais qui mordent.

OK.