Alguien para a mi lado, lleva un vestido de flores. Es Mercedes hace veinte años con el pelo recogido en una coleta alta y con un capazo de paja. Cuando la miro echa a andar, la llamo pero sigue andando más deprisa, no sé si me reconoce. La sigo desesperado, aprieta el paso.
Traduction temporaire :
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une couette haute et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse encore le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une couette haute et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse encore le pas.
6 commentaires:
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, cette personne porte une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans avec ses cheveux attachés en une grande couette et son sac en osier. Lorsque je la regarde, elle se met en route. Je l'appelle, mais elle continue de marcher à une allure plus rapide, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, cette personne porte [« dans » ?] une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans [virgule] avec ses cheveux attachés en une grande [non… relisez bien] couette et son sac [?] en osier. Lorsque je la regarde, elle se met en route [bof]. Je l'appelle, mais elle continue de marcher [« avancer ? »] à une [« plus vive »] allure plus rapide, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une haute couette et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une haute [après] couette et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse [« encore »] le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une couette haute et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse encore le pas.
Quelqu'un s'arrête à mes côtés, dans une robe à fleurs. C'est la Mercedes d'il y a vingt ans, avec ses cheveux attachés en une couette haute et son cabas en osier. Lorsque je la regarde, elle commence à marcher. Je l'appelle, mais elle continue d'avancer à une allure plus vive, je ne sais pas si elle me reconnaît. Désespéré, je la suis, elle presse encore le pas.
OK.
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