jeudi 29 janvier 2015

Projet Agathe 5 – phrases 29-31

Ustedes me dirán que por qué con tanto bancario de ambo, camisa y corbata yo ando detrás de uno con jeans y campera; será por eso de los opuestos o porque con los compañeros de trabajo es como meterse otra vez en el estante, el nicho, en el aquí no ha pasado nada. Y algo tiene que pasarme. Fui a la peluquería, lustré los zapatos, me maquillé...

Traduction temporaire :
Vous allez me demander pourquoi sur tous ces employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après celui qui porte un jean et un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

10 commentaires:

Unknown a dit…

Vous me demanderez pourquoi avec tant d'employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après quelqu'un en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il ne s'est rien passé. Et quelque chose doit m'arriver. Je partis au salon de coiffure, je fis briller mes chaussures, je me maquillai...

Tradabordo a dit…

Le raccourci clavier des points de suspension.

Unknown a dit…

Vous me demanderez pourquoi avec tant d'employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après quelqu'un en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il ne s'est rien passé. Et quelque chose doit m'arriver. Je partis au salon de coiffure, je fis briller mes chaussures, je me maquillai…

Tradabordo a dit…

Vous me demanderez [« allez me demander »] pourquoi avec tant d'employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après quelqu'un [le problème, c'est qu'on ne dit pas qu'il travaille également dans la banque…] en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il ne s'est rien passé [clair ? Je sais que la V.O. est compliquée, mais j'ai des petits doutes…]. Et quelque chose doit m'arriver. Je partis [bof] au salon de coiffure, je fis briller [mal dit] mes chaussures, je me maquillai…

Unknown a dit…

Vous allez me demander pourquoi avec tant d'employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après l'un d'entre eux en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

Tradabordo a dit…

Vous allez me demander pourquoi avec tant [« sur tous ces » ? Je vous laisse voir ce qui est mieux…] d'employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après l'un d'entre eux [plus simple par « celui qui », non ?] en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

Unknown a dit…

Vous allez me demander pourquoi sur tous ces employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après celui qui est en jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

Tradabordo a dit…

Vous allez me demander pourquoi sur tous ces employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après celui qui est en [ou, cette fois, avec « porte » ?] jean avec un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

Unknown a dit…

Vous allez me demander pourquoi sur tous ces employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après celui qui porte un jean et un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

Tradabordo a dit…

Vous allez me demander pourquoi sur tous ces employés de banque en costume, chemise et cravate, je cours après celui qui porte un jean et un blouson ; peut-être à cause de l'attirance des opposés, ou parce qu'avec les collègues de travail, c'est comme revenir sur l'étagère, dans la niche, dans ce lieu où il n'y a pas eu d'histoires. Et quelque chose doit m'arriver. J'allai au salon de coiffure, je cirai mes chaussures, je me maquillai…

OK.