Llego donde están. Me mira a los ojos. “¡Tú sabes qué es esto! ¡Me voy a morir también! ¡No quiero!” La madre se le acerca y la abraza. Las dos lloran sin consuelo. El doctor del camposanto se acerca y habla con el tío. Asienten ambos. Saca una jeringuilla de su bolso e inyecta a Celine. “Llévala a la casa, yo voy con Claudette”, me dice el tío. Obedezco.
Traduction temporaire :
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble, elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi, je pars avec Claudette », me lance l’oncle. J’obéis.
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble, elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi, je pars avec Claudette », me lance l’oncle. J’obéis.
4 commentaires:
Annelise L
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi je vais avec Claudette », me lance l’oncle. J’obéis.
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble [virgule ?] elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord [« hocher la tête » ?]. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi [virgule] je vais [« pars » ?] avec Claudette », me lance l’oncle [?]. J’obéis.
Annelise L
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble, elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi, je pars avec Claudette », me lance l’oncle. J’obéis.
J’arrive à leur hauteur. Elle me regarde droit dans les yeux. « Toi, tu sais ce que ça signifie ! Je vais mourir, moi aussi ! Je ne veux pas ! ». Sa mère s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Ensemble, elles pleurent, inconsolables. Le médecin du cimetière s’avance et parle avec l’oncle. Tous deux se mettent d’accord. Il sort une seringue de sa mallette et fait une injection à Celine. « Ramène-là à la maison, moi, je pars avec Claudette », me lance l’oncle. J’obéis.
OK.
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