Tal vez sólo era su mirada lo que realmente existía de él. Ni siquiera esa sombra pesada le parecía pertenecer. Todo estaba allí, quieto y tumultuoso como un delirio inexplicable. No era el tiempo ni la sombra, tampoco el hombre que luchaba solitariamente; eran los muros, era la casa y también la memoria que lo mantenía como encerrado en un laberinto.
Traduction temporaire :
Son regard était peut-être la seule chose réelle chez lui. Même cette ombre pesante ne semblait pas lui appartenir. Tout était là, immobile et tumultueux dans un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais les murs, la maison et aussi la mémoire, qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Son regard était peut-être la seule chose réelle chez lui. Même cette ombre pesante ne semblait pas lui appartenir. Tout était là, immobile et tumultueux dans un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais les murs, la maison et aussi la mémoire, qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
7 commentaires:
Peut-être que seul ce qui existait réellement de lui c’était son regard. Même cette ombre pesante semblait lui appartenir. Tout était là, tranquille et tumultueux, comme un délire inexplicable. Ce n’était ni le temps, ni l’ombre, ni l’homme qui luttait en solitaire, c’étaient les murs, c’était la maison et aussi la mémoire qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Peut-être que seul ce qui existait réellement de lui c’était [vous devez pouvoir trouver une solution sans « c'était » ; d'autant que vous avez pas mal changé…] son regard. Même [pour « Ni siquiera » ?] cette ombre pesante semblait lui appartenir. Tout était là, tranquille [ou dans le sens « immobile » ? Vérifiez] et tumultueux, comme un délire inexplicable. Ce n’était [la preuve qu'il faut changer le « c'était du haut »] ni le temps, ni l’ombre, ni l’homme qui luttait en solitaire, c’étaient [un moyen de contourner] les murs, c’était [idem ?] la maison et aussi la mémoire qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Peut-être que seul son regard existait réellement de lui. Pas même cette ombre pesante semblait lui appartenir. Tout était là, immobile et tumultueux comme un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais plutôt les murs, la maison et aussi la mémoire qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Peut-être que seul son regard existait réellement de lui [ou : « la seule chose réelle chez lui » ?]. Pas même cette ombre pesante semblait lui appartenir [gros manque de naturel / il va falloir aménager tout ça… en particulier, sans doute, en changeant la syntaxe]. Tout était là, immobile et tumultueux comme [cheville : « dans » ? J'hésite… Dites-moi ce que vous en pensez] un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais plutôt [le « plutôt » est-il nécessaire ?] les murs, la maison et aussi la mémoire [virgule ?] qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Son regard était peut-être la seule chose réelle chez lui. Même cette ombre pesante ne semblait pas lui appartenir. Tout était là, immobile et tumultueux dans [l’emploi de « dans » rend la phrase plus fluide] un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais les murs, la maison et aussi la mémoire, qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Son regard était peut-être la seule chose réelle chez lui. Même cette ombre pesante ne semblait pas lui appartenir. Tout était là, immobile et tumultueux dans un délire inexplicable. Ce n’était pas le temps, ni l’ombre, ni l’homme non plus qui luttait en solitaire, mais les murs, la maison et aussi la mémoire, qui le maintenait comme enfermé dans un labyrinthe.
Bien. Vous vous débrouillez bien.
OK.
Jordane ?
Ok.
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