Su labio inferior tiembla. “¿Qué te pasa?”, le pregunto. Me señala a los árboles y corre hacia ellos. Todos se espantan, no hay un proceso que pueda entenderse como algo sostenido o lógico. La madre grita su nombre, solloza, salimos corriendo detrás de ella. Es muy rápida. Uno de sus primos se adelanta y consigue agarrarla de la cintura, la echa contra el suelo.
—¡No! ¡No! ¡No! ¡Suéltame!
—Celine, tranquila, cálmate.
—¡No! No entiendes.
Traduction temporaire :
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? » je lui demande.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote. Nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote. Nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
6 commentaires:
Annelise L
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? », je lui demande.
Elle me signale les arbres et se met à courir en leur direction. Tout le monde est effrayé, il n’y a pas de processus soutenable ou logique qui puisse se comprendre. Sa mère crie son prénom, elle sanglote, nous lui courons après. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, il la jette au sol.
—Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
—Celine, doucement, calme-toi.
—Non ! Tu ne comprends pas.
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? », je lui demande.
Elle me signale [« désigne »] les arbres et se met à courir en [mal dit] leur direction. Tout le monde est effrayé, [point] il n’y a pas de processus soutenable ou logique qui puisse se comprendre [pas très clair, tout ça ;-)]. Sa mère crie son prénom, elle [nécessaire ?] sanglote, nous lui courons [passe par « se précipiter » ; ça t'évitera une répétition] après. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, il [nécessaire ?] la jette [« plaque » ou trop rugby ?] au sol.
—[espace // idem pour les suivants]Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
—Celine, doucement, calme-toi.
—Non ! Tu ne comprends pas.
Annelise L
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? », je lui demande.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote, nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? » je lui demande.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote, [point ?] nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
Annelise L
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? » je lui demande.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote. Nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
Sa lèvre inférieure tremble. « Que se passe-t-il ? » je lui demande.
Elle désigne les arbres et se dirige vers eux en courant. Tout le monde est effrayé. Il n’y a pas d'explication qui puisse être soutenable ou logique. Sa mère crie son prénom, sanglote. Nous nous précipitons derrière elle. Elle est très rapide. Un de ses cousins s’approche et parvient à l’attraper par la taille, la fait tomber au sol.
— Non ! Non ! Non ! Lâche-moi !
— Celine, doucement, calme-toi.
— Non ! Tu ne comprends pas.
OK.
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