Me acerqué, le puse la mano en el hombro y le dije que quería ayudarlo y entonces sentí que se esforzaba para que mi opinión sobre él fuera favorable. Hubo en ese momento cierta complicidad o como se llame eso que se da a veces entre dos personas que recién se conocen.
La segunda vez que lo visité ya estaba en la cárcel de Encausados.
Traduction temporaire :
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer. Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer. Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
6 commentaires:
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis alors qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là s’établit une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes qui viennent de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis alors qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là [virgule] s’établit une certaine complicité [pas très fluide… un peu bizarre, même], ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes qui [beaucoup de « qui » ;-)] viennent de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis alors qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis alors [comme après, on a « à ce moment-là », on peut peut-être faire sans… histoire de ne pas sans cesse baliser le temps…] qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
Je m’approchai, posai ma main sur son épaule et lui annonçai que je souhaitais l’aider. Je sentis qu’il se donnait du mal pour que j’aie une bonne opinion de lui. À ce moment-là, il y eut une certaine complicité, ou comme on voudra appeler ce lien qui se tisse parfois entre deux personnes venant de se rencontrer.
Lors de ma seconde visite, il était déjà incarcéré dans la prison de Encausados.
OK.
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