Me contó que cuando lo vio muerto, el muerto, la persona que le había dado todo, la más importante de su vida, no supo qué hacer y deambuló por el barrio hasta que se encontró en la comisaría. Todo el tiempo que estuve con él, no salió de la confusión en la que estaba sumergido; repetía obsesivamente que su padrino estaba feliz, había votado y estaba seguro de que Perón iba a ganar, que él lo dejó sentado al sol en el patio de la escuela después de la votación.
No hubo agua que le saciara la sed, hablaba de su padrino sin poder detenerse.
Traduction temporaire :
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, qu'il l'avait laissé alors qu'il était assis au soleil, dans la cour de l’école après l'élection. Comme si nulle eau ne pouvait étancher sa soif, il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, qu'il l'avait laissé alors qu'il était assis au soleil, dans la cour de l’école après l'élection. Comme si nulle eau ne pouvait étancher sa soif, il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
10 commentaires:
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait su que faire et avait erré dans le quartier jusqu’à se retrouver au commissariat. Durant tout le temps que j’étais à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté convaincu que Perón allait l’emporter, qu’il l’avait laissé assis au soleil dans la cour de l’école après le vote.
Déversant un flot intarissable de paroles [je m’éloigne trop, je suppose…], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait su que faire [« n'avait pas su quoi » me semble plus naturel] et avait erré dans le quartier [virgule ? Comme tu veux…] jusqu’à se retrouver [« atterrir » ?] au commissariat. Durant tout le temps que j’étais [temps] à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté [chevilles nécessaires : « en étant » ou quelque chose comme ça] convaincu que Perón allait l’emporter, qu’il l’avait laissé assis au soleil dans la cour de l’école après le vote.
Déversant un flot intarissable de paroles [je m’éloigne trop, je suppose…], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté en étant convaincu [ou avec la conviction?] que Perón allait l’emporter, qu’il l’avait laissé assis au soleil dans la cour de l’école après le vote.
Déversant un flot intarissable de paroles [je m’éloigne trop, je suppose…], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté en étant convaincu [ou avec la conviction? OK] que Perón allait l’emporter, qu’il l’avait laissé [cheville : « alors qu'il était » ? J'hésite] assis au soleil [virgule ?] dans la cour de l’école après le vote [« l'élection » ?].
Déversant un flot intarissable de paroles [je m’éloigne trop, je suppose… // c'est-à-dire que tu rends l'idée, mais pas la manière – pourquoi ne pas rester plus près de la V.O., quitte, au besoin, à ajouter des chevilles ?], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, alors qu'il était assis au soleil, dans la cour de l’école après l'élection.
Comme si aucune eau ne pouvait étancher sa soif [ms là, je ne sais pas si c'est clair...], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, alors qu'il était assis [je ne pense pas qu'il faille supprimer l'idée contenue dans « él lo dejó »] au soleil, dans la cour de l’école après l'élection.
Comme si aucune [« Nul » ?] eau ne pouvait étancher sa soif [ms là, je ne sais pas si c'est clair...], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, qu'il l'avait laissé alors qu'il était assis [ok, je n'avais pas saisi] au soleil, dans la cour de l’école après l'élection.
Comme si nulle eau ne pouvait étancher sa soif, il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, qu'il l'avait laissé alors qu'il était assis au soleil, dans la cour de l’école après l'élection.
Comme si nulle eau ne pouvait étancher sa soif [bon alors, t'en penses quoi ? Le littéral est clair ou on change carrément avec ce que tu proposais au début ? J'hésite…], il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Peux-être m'as-tu oubliée, au milieu des trads en cours... ;)
Ah oui, manifestement ; désolée…
Il m’expliqua que lorsqu’il l’avait vu mort, le mort, la personne qui lui avait tout donné, la plus importante de sa vie, il n’avait pas su quoi faire et avait erré dans le quartier, jusqu’à atterrir au commissariat. Durant tout le temps que je fus à ses côtés, il ne sortit pas de la confusion dans laquelle il était plongé ; il répétait obstinément que son parrain était heureux, qu’il avait voté avec la conviction que Perón allait l’emporter, qu'il l'avait laissé alors qu'il était assis au soleil, dans la cour de l’école après l'élection.
Comme si nulle eau ne pouvait étancher sa soif, il parlait de son parrain sans pouvoir s’arrêter.
Dans le doute, j'aime autant être littéral. Tu pourras toujours y revenir quand tu reliras.
Enregistrer un commentaire