Ahora, por fin, está ahí. Siento el viento en los cabellos como una mano grande que me acaricia, insinuándome que todo saldrá bien. Capitán Nemo, viejo en la popa, parece comprenderlo todo nuevamente a través de sus ojos blancos. Mira hacia adelante, la mano firme, seguro de conocer de memoria la última ruta que nos llevará a la orilla. ¿Qué dirá cuando la lancha toque por fin la tierra? Sí, tengo miedo. Pero también tengo curiosidad por saberlo.
Traduction temporaire :
Maintenant, l’île est là, enfin. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieil homme à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur l'ultime trajet qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
Maintenant, l’île est là, enfin. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieil homme à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur l'ultime trajet qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
6 commentaires:
Maintenant, l’île est enfin là. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieux à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur la dernière route qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
Maintenant, l’île est enfin [mets-le à la fin, avec une virgule ; il sera davantage en relief] là. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieux [« cheville : « homme » ?] à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur la dernière route [pas ce que tu as mis dans la section d'avant .] qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
Maintenant, l’île est là, enfin. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieil homme à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur l'ultime trajet qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
Maintenant, l’île est là, enfin. Je sens le vent dans mes cheveux, comme une grande main qui me caresse, me suggérant que tout ira bien. Capitaine Némo, vieil homme à la proue, semble de nouveau tout comprendre à travers ses yeux blancs. Il regarde droit devant lui, certain de connaître par cœur l'ultime trajet qui nous conduira jusqu’au rivage. Qu’est-ce qu’il dira quand la barque abordera enfin la plage ? Bien sûr, j’ai peur. Mais, je suis également curieux de le savoir.
OK.
Tu peux relire ! :-)
Contente ;-)))))
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