mercredi 21 janvier 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 19-24

Esta es mi casa —dijo el hombre.
La ranura se había ensanchado un poco. Del techo tal vez goteaba aún, como cuando llovía antes. Luego Onel cerró los ojos para intentar olvidar lo inolvidable. Quizá era preferible irse y no reclamar nada, tampoco volver a ver esos muros, ni la ranura que esta vez lo estaba viendo a él; como si quisiese devorarlo. La única resistencia de Onel era desviar la vista hacia otro punto, hacia un vacío absoluto de donde no rebotase nada.

Traduction temporaire :
— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était légèrement creusée. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait, avant. Ensuite, Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir, ne rien dire, et ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, maintenant, était en train de le regarder, lui, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

8 commentaires:

Unknown a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était creusée un peu. Parfois l’eau gouttait encore du toit, comme quand il pleuvait avant. Puis Onel avait fermé les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir et ne rien dire, ainsi que de ne pas revenir voir ses murs, ni la rainures qui, cette fois, était en train de le regarder, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne sort.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était creusée un peu [ou avec « légèrement » ?]. Parfois [FS] l’eau gouttait encore du toit, comme quand il pleuvait avant. Puis [« Ensuite », car un peu de durée quand même] Onel avait fermé [pourquoi le PQP ?] les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir et ne rien dire, ainsi que de ne pas revenir voir ses murs, ni la rainures [grammaire + il ne faut pas changer // la répétition est volontaire – d'ailleurs, si vous l'avez déjà dans des phrases précédentes, il faut vous assurer que vous avez laissé le même mot depuis le début] qui, cette fois, était en train de le regarder, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne sort [ou « ressort » ?].

Unknown a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était creusée légèrement. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait avant. Ensuite Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir et ne rien dire, ainsi que de ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, cette fois, était en train de le regarder, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était creusée légèrement [mettez-le avant]. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait [virgule ?] avant. Ensuite [virgule, puisque vous ne commencez pas par le sujet] Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir et ne rien dire, ainsi que de [c'est qd même très lourd // supprimez le « et » avant et mettez-le ici] ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, cette fois, était en train de le regarder, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était légèrement creusée. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait, avant. Ensuite, Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir, ne rien dire, et ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, cette fois, était en train de le regarder, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était légèrement creusée. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait, avant. Ensuite, Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir, ne rien dire, et ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, cette fois [« maintenant »], était en train de le regarder, [cheville : « , lui, » // pour montrer qu'on a inversé les rôles] comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était légèrement creusée. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait, avant. Ensuite, Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir, ne rien dire, et ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, maintenant, était en train de le regarder, lui, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, répliqua l’homme.
La fente s’était légèrement creusée. L’eau gouttait peut-être encore du toit, comme quand il pleuvait, avant. Ensuite, Onel ferma les yeux pour tenter d’oublier l’inoubliable. Il était peut-être préférable de partir, ne rien dire, et ne pas revenir voir ses murs, ni la fente qui, maintenant, était en train de le regarder, lui, comme si elle voulait le dévorer. L’unique résistance d’Onel était de détourner le regard vers un autre point, vers un vide absolu d’où rien ne ressort.


OK.

Jordane ?